21/02/2008
La licence en soins infirmiers dès la rentrée 2009, selon Roselyne Bachelot
Le Fnesi s’est félicitée de l’annonce de la ministre.
La ministre de la Santé a annoncé le 19 février « la reconnaissance de la formation infirmière au niveau licence pour la rentrée de septembre 2009 », à l’occasion du lancement d’une campagne de presse sur les métiers de l’hôpital.
Interrogée par un représentant de la Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers (Fnesi), qui demandait s’il s’agirait « d’une licence en soins infirmiers pour l’ensemble des étudiants infirmiers issus de la formation et pouvant mener à un doctorat et un master en découlant », elle a répondu « oui, bien sûr. »
« Il ne s’agira pas d’une validation sèche du diplôme d’infirmière », a ajouté Roselyne Bachelot, qui a souligné qu’elle mettait « toute [son] énergie pour le LMD ».
La Fnesi s’est félicitée de l’annonce de la ministre, tout en réaffirmant sa volonté que cette licence corresponde au « même diplôme pour tous », en souhaitant que dans le cadre de cette licence, « les cours de sciences humaines [soient] développés pour aider à saisir l'importance des théories et concepts de soins ».
La Fnesi insiste également sur l’intégration des études dans le système universitaire, afin de permettre aux étudiants de bénéficier des mêmes bourses du Crous que les autres.
Le syndicat étudiant, enfin, propose la mise en place d’un statut d’ « enseignant praticien » : le formateur concilierait alors l’enseignement avec l’exercice professionnel.
A.L.G.
Interrogée par un représentant de la Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers (Fnesi), qui demandait s’il s’agirait « d’une licence en soins infirmiers pour l’ensemble des étudiants infirmiers issus de la formation et pouvant mener à un doctorat et un master en découlant », elle a répondu « oui, bien sûr. »
« Il ne s’agira pas d’une validation sèche du diplôme d’infirmière », a ajouté Roselyne Bachelot, qui a souligné qu’elle mettait « toute [son] énergie pour le LMD ».
La Fnesi s’est félicitée de l’annonce de la ministre, tout en réaffirmant sa volonté que cette licence corresponde au « même diplôme pour tous », en souhaitant que dans le cadre de cette licence, « les cours de sciences humaines [soient] développés pour aider à saisir l'importance des théories et concepts de soins ».
La Fnesi insiste également sur l’intégration des études dans le système universitaire, afin de permettre aux étudiants de bénéficier des mêmes bourses du Crous que les autres.
Le syndicat étudiant, enfin, propose la mise en place d’un statut d’ « enseignant praticien » : le formateur concilierait alors l’enseignement avec l’exercice professionnel.
A.L.G.
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