À quand un « assistant-ministre » de la Santé ?

Suite à la parution le 20 janvier de l'Ordonnance « relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles dans le domaine de la santé » au Journal officiel, la riposte du Syndicat national des infirmières et infirmiers libéraux n'a pas tardé. Et c'est avec une certaine touche d'humour et d'ironie qu'ils supposent qu'on verra bientôt apparaître, dans la lignée de « l'accès partiel à une activité professionnelle dans le domaine de la santé », des postes de « balnéothérapeutes » ou d'« assistants de soin », ou encore, celui d'« assistant-ministre » avec « accès partiel aux activités professionnelles dans le domaine de la politique ».