1. Les évènements indésirables graves (EIG), consécutifs à un acte chirurgical représentent :
35 % des EIG 42 % des EIG 55 % des EIG
2. Il est recommandé de réaliser le marquage du site opératoire :
Avec l’implication du patient Une fois le patient sous anesthésie Avant l’arrivée au bloc De préférence par le chirurgien
3. Le time out est :
Le moment où l’opération peut commencer après vérifications d’usage Un temps dédié au cours duquel l’équipe répond aux questions du coordonnateur de la chek-list
4. Le refus par le patient du marquage :
N’entraîne aucune mesure particulière Est traité comme tout refus de soin Est documenté dans la check-list Motive l’annulation de l’opération
5. La déclaration d’un EIG n’entraîne pas de sanction, (sauf cas rare où il est volontaire) :
Vrai Faux
6. En cas d’erreur de côté, l’infirmière n’engage pas sa responsabilité civile :
Vrai, sauf si la faute est personnelle Faux
7. Parmi les lésions traumatiques de l’appareil locomoteur, les fractures de la cheville sont :
Au 1er rang Au 3e rang Au 4e rang
8. La fracture bimalléolaire est une urgence :
Surtout quand elle est déplacée Uniquement quand elle est déplacée Non
9. En cas de luxation en plus de la fracture, une réduction peut être réalisée :
Sur le lieu de l'accident Après réalisation d'une radio
10. Le traitement orthopédique des fractures bimalléolaires est :
Le plus fréquent Indiqué uniquement dans les fractures stables et peu déplacées
11. Après traitement chirurgical, le plâtre est conservé :
Un mois et demi Deux mois et demi
12. L’infirmier peut poser un système d’immobilisation après réduction sur prescription médicale :
Oui, en toute autonomie Uniquement si le médecin peut intervenir à tout moment
13. L’ablation du matériel d’ostéosynthèse :
Est systématique Est réalisée après au moins 8 mois N’est pas systématique

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