L’incontinence urinaire est une maladie exclusivement féminine :
Vrai Faux
L’incontinence urinaire concerne :
Moins de 5 % de la population Entre 5 et 40 % de la population Plus de 40 % de la population
L’incontinence urinaire touche :
Moins de 1 % des nullipares Entre 1 et 8 % des nullipares Entre 8 et 32 % des nullipares Plus de 32 % des nullipares
Combien existe-t-il de types d’incontinences urinaires ?
2 3 4
Les médecins sont :
Mieux formés sur l’incontinence que sur les maladies cardio-vasculaires Aussi bien formés sur les maladies cardio-vasculaires que sur l’incontinence urinaire Moins bien formés sur l’incontinence que sur les maladies cardio-vasculaires
L’incontinence mixte désigne :
Une incontinence qui touche aussi bien les hommes que les femmes Une incontinence urinaire et anale Une incontinence liée à l’effort et par urgenturie
Dans le diagnostic de l’incontinence, la bilan urodynamique est incontournable :
Vrai Faux
Le tabou autour de l’incontinence est plus fort que celui lié aux maladies sexuellement transmissibles ou aux troubles de l’érection
Vrai Faux
Le traitement de première intention de l’incontinence est :
La protection urinaire La rééducation du périnée L’intervention chirurgicale
L’incontinence par urgenturie se traite par :
Une intervention chirurgicale avec pose de bandelette sous-urétrale Des médicaments bêtabloquants Des médicaments anticholinergiques, de la stimulation tibiale transcutanée, la neuromodulation sacrée et/ou par une injection de toxine botulique
La chirurgie de l’incontinence par bandelette est :
Une chirurgie qui donne 100 % de bons résultats La seule chirurgie existante pour traiter l’incontinence Une opération qui présente un risque de complications de l’ordre de 3 %
Une infirmière est libre de porter la tenue qu’elle souhaite au sein de l’institution dans laquelle elle travaille :
Vrai Faux
L’élection d’une infirmière à l’Ordre infirmier lui permet d’obtenir une compensation financière :
Vrai Faux
Lorsqu’un soin a été appris à un aidant ou à un personnel médico-social afin qu’il le réalise sur une personne porteuse d’un handicap permanent, la responsabilité de l’infirmière est engagée :
Vrai Faux

Répondre