La sédation est la recherche par des moyens médicamenteux d’une diminution de la vigilance qui :
Peut aller jusqu’à la perte de conscience Ne peut pas conduire à une perte de conscience
La sédation profonde et continue est utilisée pour répondre à une souffrance intolérable en première intention :
Vrai Faux
Parmi ces critères, lesquels doivent être respectés de manière cumulative pour mettre en œuvre la sédation profonde et continue ?
Une affection grave et incurable Un pronostic vital engagé à court terme Une souffrance réfractaire au traitement Une demande écrite du patient
Une sédation de durée indéterminée est :
Prescrite lorsqu’il faut soulager en urgence un patient, par exemple, en cas de détresse asphyxique Prescrite pour diminuer un état d’anxiété Irréversible Potentiellement réversible
Une sédation transitoire peut être mise en place lors de la réalisation de soins ou lors d’actes entraînant de façon réfractaire :
Un inconfort Des insomnies Des souffrances psychologiques Une opposition aux soins
L’application du droit à la sédation profonde et continue exige une procédure collégiale :
Uniquement si le patient est incapable de s’exprimer Même si le patient est demandeur d’une sédation
Lors d’une sédation profonde, le patient reste toujours capable de manifester son inconfort :
Vrai Faux
Pour réaliser une sédation, on a recours au Midazolam administré :
Par voie orale Par voie veineuse Par voie sous-cutanée
Le Midazolam doit être dilué dans du sérum physiologique pour obtenir une concentration de :
1 mg/ml 5 mg/ml
L’injection du Midazolam est réalisée en continu jusqu’à obtention :
D’un score de 4 sur l’échelle de Rudkin D’un score de 5 sur l’échelle de Rudkin D’un score de - 2 sur l’échelle de Richmond D’un score de - 4 sur l’échelle de Richmond
Dans quelles situations l’infirmière peut-elle appliquer la prescription anticipée de sédation ?
Hémorragies cataclysmiques notamment extériorisées Détresses respiratoires asphyxiques Hallucinations, délires

Répondre