Le risque de survenue de nausées et vomissements liés aux anticancéreux (NVITAC) :
dépend du niveau émétisant de la chimiothérapie est plus élevé chez les hommes que chez les femmes est plus élevé chez les patients âgés dépend de la durée de sommeil la veille de la cure de chimiothérapie
Si le patient présente des facteurs de risque individuels, les médecins peuvent « surclasser » le potentiel émétisant de la chimiothérapie.
Vrai Faux
Les NVITAC aigus peuvent survenir :
avant l’administration de la chimiothérapie pendant la journée de l’administration de la chimiothérapie au cours des premiers jours suivant l’administration de la chimiothérapie
Quels sont les neuromédiateurs impliqués dans les NVITAC ?
la substance P l’acétylcholine l’histamine la dopamine la sérotonine
Quel est le neuromédiateur impliqué dans la survenue de NVITAC aigus et retardés ?
la substance P la sérotonine
Un protocole antiémétique est considéré comme efficace si le nombre d’épisodes de vomissements par jour est :
≤ 1 = 0
Parmi ces médicaments, lesquels peuvent être utilisés dans le protocole antiémétique d’un patient cancéreux ?
une benzodiazépine l’ondansétron un AINS l’association nétupitant/palonosétron l’olanzapine la scopolamine
L’aprépitant est susceptible de diminuer l’efficacité des contraceptifs hormonaux.
Vrai Faux
Quels peuvent être les effets indésirables des antagonistes 5-HT3 (ou « sétrons ») ?
des céphalées un syndrome malin des diarrhées un allongement de l’espace QT à l’ECG
L’olanzapine :
est efficace sur les vomissements aigus mais pas retardés est recommandée dans les protocoles antiémétiques en cas de chimiothérapie hautement émétisante peut être prescrite comme traitement de secours dans les NVITAC réfractaires expose au risque d’agitation, de nervosité et d’insomnie
Quels sont les conseils à prodiguer au patient pour limiter les NVITAC ?
attendre d’avoir la sensation de ventre vide pour manger privilégier les repas froids s’il doit nécessairement s’allonger après un repas, s’allonger de préférence sur le côté gauche fractionner les repas en plusieurs collations veiller à bien s’hydrater en buvant de préférence au cours des repas
Quelles peuvent être les complications des NVITAC ?
une dénutrition une insuffisance hépatique une insuffisance rénale une hyperkaliémie
Parmi ces médicaments, quels sont ceux qui sont remboursés selon la procédure d’« exception » ?
le granisétron le métoclopramide la dexaméthasone l’aprépitant l’olanzapine

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