En France, la sclérose en plaques (SEP) concerne
65 000 personnes 110 000 personnes 170 000 personnes
Dans 70 % des cas, la maladie débute entre
25 et 35 ans 35 et 50 ans 45 et 60 ans
Les femmes représentent 75 % des personnes atteintes de SEP
Vrai Faux
La forme récurrente-rémittente représente
35 % des cas 40 à 60 % des cas 85 à 90 % des cas
Les facteurs environnementaux incriminés dans la SEP sont
Le niveau d’ensoleillement Le tabagisme actif, ou passif durant l’enfance La consommation excessive d’alcool Les polluants respiratoires L’obésité L’infection par le virus d’Epstein-Barr
Quelle(s) affirmation(s), parmi celles-ci, est/sont vraie(s) ?
La sclérose en plaques est une maladie héréditaire Il existe une prédisposition génétique au développement de la sclérose en plaques La sclérose en plaques est la première cause de handicap non traumatique sévère Le handicap n’est pas systématique Il existe des tests spécifiques permettant d’établir le diagnostic Il n’existe pas de traitement curatif de la sclérose en plaques
Les symptômes dépendent
De la localisation des atteintes du système nerveux central De la forme de sclérose en plaques
Les symptômes peuvent disparaître totalement ou partiellement en quelques semaines
Vrai Faux
Quel(s) troubles est/sont évocateur(s) de la sclérose en plaques ?
Une paralysie ou une faiblesse musculaire dans un ou deux membres inférieurs Une fatigue intense Des sensations de fourmillements, de picotements et une diminution de la sensibilité au toucher Une vision double (diplopie) Une surdité Une pollakiurie et une nycturie
L’examen de choix pour diagnostiquer et suivre l’évolution de la maladie est
Le PET scan Le scanner cérébral L’IRM
Quelle(s) forme(s) de sclérose en plaques évolue(nt) par poussées ?
La forme récurrente-rémittente La forme progressive d’emblée ou progressive primaire La forme dite « secondairement progressive »

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Les objectifs de la récupération ou réhabilitation améliorée après chirurgie (RAAC) sont
Un rétablissement rapide des capacités physiques antérieures du patient Un rétablissement rapide des capacités psychiques antérieures du patient Une réduction du « stress chirurgical » Une réduction de la durée d’hospitalisation Une baisse significative de la mortalité et de la morbidité liées à la chirurgie
Le « stress chirurgical », facteur ralentissant la convalescence, est responsable de modifications 
Hormonales Métaboliques Physiologiques
Quels sont, parmi ces propositions, les critères à valider pour la sortie d’hospitalisation d’un patient inclut dans un parcours RAAC ?
L’absence de perfusion intraveineuse Le retour à une alimentation solide L’absence de douleur Une mobilisation indépendante ou au même niveau qu’avant l’intervention Un transit rétabli, au moins sous forme de gaz L’absence de signe infectieux Une acceptation de la sortie par le patient
Jusqu’à combien de temps avant l’intervention le patient est-il autorisé à boire dans un parcours de RAAC ?
Deux heures Six heures Douze heures
Les procédures postopératoires de la RAAC reposent, entre autres, sur
Une reprise précoce de l’alimentation La limitation du saignement L’absence de sonde gastrique La mobilisation précoce Une analgésie avec ou sans morphine
La RAAC devrait, à terme, être applicable à toutes les spécialités
Vrai Faux

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La part des événements indésirables graves associés aux soins (EIGS) liés aux médicaments est de
14,8 % 32,9 % 46,2 %
Combien d’EIGS liés aux médicaments entraînent une hospitalisation ?
35,5 % 45,5 % 54,5 % 64,5 %
Dans quel(s) cas l’infirmière est autorisée à administrer un médicament sur prescription orale ?
Lorsque le médecin est injoignable En cas d’urgence Lorsque le médecin l’a autorisé
La retranscription de la prescription manuscrite est formellement interdite
Vrai Faux

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