Les toxicités cutanées induites par les chimiothérapies se manifestent au niveau
De la peau Des phanères Des muqueuses
Les soins de socio-esthétique
Visent une restauration de l’image de soi  Sont systématiquement associés à un traitement médicamenteux de l’atteinte corporelle Favorisent le processus de guérison par la communication
Le recours à un dermatologue est justifié
Pour les toxicités cutanées pour lesquelles les oncologues et les soins de support ne peuvent apporter de solution Lorsque l’effet secondaire correspond au grade 2 de la classification CTCAE
L’importance donnée à l’apparence physique par le patient est un critère de priorisation pour le repérage des besoins en soins de socio-esthétique
Vrai Faux
Une alopécie n’est jamais considérée supérieure au grade 2 de la classification CTCAE
Vrai Faux
L’avènement des thérapies ciblées puis des immunothérapies s’est accompagné d’une diminution des toxicités cutanées observées avec les chimiothérapies alkylantes
Vrai Faux
Parmi les toxicités cutanées observées avec les chimiothérapies, les folliculites
Se manifestent par des éruptions cutanées ressemblant à celles de l’acné juvénile Sont systématiquement associées à un prurit ou à des douleurs Sont limitées aux zones dites « séborrhéiques » du visage (nez, front, menton) Sont plus souvent observées avec les thérapies ciblées
Les expositions solaires sans protection sont un facteur aggravant des folliculites
Vrai Faux
En cas de folliculite très inflammatoire, le recours aux dermocorticoïdes et antibiotiques locaux 
N’a pas d’intérêt supérieur aux émollients à base de cuivre et de zinc Est indiqué Est possible sur de longues périodes
Le mécanisme d’action des immunothérapies
Vise directement la destruction des cellules tumorales Vise à stimuler le système immunitaire Peut créer de l’inflammation au niveau du foie, des poumons ou de la peau
Avec les thérapies ciblées, un syndrome main-pied se manifeste plutôt sous forme
De corne très douloureuse au niveau des points d’appui de la plante des pieds ou des zones traumatisées des mains D’érythème très inflammatoire et très douloureux sur toute la surface de la paume des mains et de la plante des pieds
Les modifications pigmentaires observées avec les chimiothérapies anticancéreuses peuvent concerner
La peau Les muqueuses Les phanères

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Le Meopa est un gaz à action
Anxiolytique Analgésique Anti-inflammatoire
Quelle(s) affirmation(s), dans cette liste, est/sont vraie(s) ?
Le Meopa est moins efficace chez les enfants âgés de moins de 2 ans Le Meopa est contre-indiqué en cas d’insuffisance cardiaque Le Meopa est contre-indiqué en cas d’hypertension intracrânienne Le Meopa peut entraîner une perte de conscience Le patient sous Meopa ne risque pas de dépression respiratoire
Avant le soin douloureux, il faut faire inhaler le Meopa au patient pendant
5 à 8 minutes 3 à 5 minutes
Selon les recommandations spécifiques au contexte de l’épidémie de Covid-19, les personnels soignants doivent se protéger avec
Un masque de type chirurgical ou FFP2 Des lunettes de protection Des gants non stériles Des gants stériles
Selon ces mêmes recommandations, après utilisation du kit ballon à usage unique ou du kit prêt à l’emploi pour quinze utilisations, le masque et le filtre doivent systématiquement être jetés dans le conteneur
Des déchets d’activités de soins à risques infectieux (Dasri) Des déchets assimilés aux ordures ménagères Des déchets à risque toxique ou chimique

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En France, la morphine et les molécules apparentées sont répertoriées comme étant des stupéfiants
Vrai Faux
La morphine et ses dérivés entraînent systématiquement
Des diarrhées Une constipation Des nausées Une dépendance
Le(s)quel(s) de ces opioïdes est/sont indiqué(s) uniquement dans les douleurs d’origine cancéreuse ?
L’hydromorphone La méthadone La buprénorphine La morphine à libération prolongée
La délivrance d’opioïdes forts nécessite une ordonnance
Classique Sécurisée
Une ordonnance de morphinique n’est délivrée dans sa totalité que si elle est présentée au plus tard
Dans les deux jours Dans les trois jours Dans les cinq jours
La prescription d’opioïdes forts est limitée à
2 mois 15 jours 28 jours
Après la titration, la dose totale administrée en deux prises sous forme LP, en 24 heures, peut être complétée par une forme à libération immédiate, en interdoses
Deux à quatre fois par jour Quatre à six fois par jour Cinq à huit fois par jour
Il n’y a pas de dose maximale pour la morphine. Elle est déterminée en fonction de la tolérance du patient vis-à-vis des effets indésirables
Vrai Faux
Les comprimés ou gélules de morphine à libération immédiate ont un délai d’action de
10 minutes 20 minutes 40 minutes
Et une durée d’action de
4 heures 8 heures
Les formes à libération prolongée ont une durée d’action de
8 heures 12 heures
La délivrance de la naloxone, l’antidote en cas d’overdose, ne nécessite pas de prescription obligatoire
Vrai Faux
Quel(s) produit(s) ne doi(ven)t pas être pris avec du jus de pamplemousse, au risque d’une majoration des effets indésirables ?
La morphine L’oxycodone La buprénorphine
Les comprimés à libération prolongée ne doivent pas être écrasés lors de l’administration, car il y a un risque de
Diminution de l’effet Majoration de la constipation Surdosage

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