Suite à une radiographie suspecte des poumons, à l’occasion d’une visite en médecine du travail, une patiente est orientée en service spécialisé pour des examens complémentaires. Au vu de ce premier examen, il lui est annoncé « une mauvaise nouvelle » : la probabilité à 99 % d’un cancer des poumons. Après divers examens complémentaires, le médecin lui annonce, ravi, la « bonne nouvelle » : il n’y a pas de cancer des poumons, mais un lymphome qui se guérit très bien ! À l’exception près que la patiente s’avère au final atteinte d’une forme grave de lymphome dont l’issue est en principe fatale et à brève échéance… L’approche psychologique du patient reste un “parent pauvre” des études de médecine. Dommage !