Dans notre numéro d’octobre, nous donnions la parole à Sarah Guerlais, Idel qui raccroche.Sur espaceinfirmier.fr, nous avons plus récemment rendu compte d’une étude de l’URPS-infirmiers d’Île-de-France, présentée au Salon, selon laquelle une Idel sur cinq songe à changer de métier (cf.bit.ly/1pfGPSD). Cela pourrait sembler paradoxal, de la part d’une revue professionnelle, d’insister ainsi sur les idées de départ. Au contraire : mettre une touche de lumière sur ces questions laissées dans l’ombre, ouvrir collectivement le débat sur ces questions touchant des professionnelles isolées, « porter la plume dans la plaie », est impératif. Sur notre site, plusieurs Idels se sont d’ailleurs saisies de cette tribune pour dépeindre concrètement les « emmerdes » de l’exercice libéral et, aussi, le bonheur qu’il permet.