Cahier de formation
Savoir plus
→ La NGAP aux Jnil en 2016
La partie Savoir faire de ce cahier et certains cas pratiques en pages suivantes s’appuient sur la session DPC co-animée par Muriel Caronne et Pascal Serantoni-Vasseur aux Journées nationales des Idels (Jnil), fin mars à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Idel depuis 1989, Pascal Serantoni-Vasseur exerce à La Crau (Var). Il s’est formé sur les compétences infirmières et a entrepris plusieurs diplômes universitaires. Depuis janvier 2014, il est infirmier expert judiciaire près la cour d’appel d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Il est enfin le gérant d’une activité d’expertise en soins infirmiers attachée à son activité libérale (cf. d’ailleurs la page sur les plaies complexes sur son site via le raccourci bit.ly/28J3Tq6).
À en croire les échos que nous avons recueillis, certains contenus de formation et surtout certaines approches (par exemple l’objectif de vouloir “rentabiliser” une cotation, ce qui peut être risqué…) laissent à désirer, et se contredisent parfois. « Et puis il est toujours possible d’avoir un contenu exceptionnel mais un formateur qui l’est moins », indique Pascal Serantoni- Vasseur. Il conseille, faute de critère de sélection, de se fier… au bouche-à-oreille. En termes de financement, l’Organisme gestionnaire du développement professionnel continu (OGDPC) ne prend plus en charge les formations NGAP depuis avril, en raison des nouvelles orientations prioritaires arrêtées en décembre et plus orientées “cœur de métier”. La NGAP ne fait en effet pas partie du soin pur.