ACTUALITÉ
ÉCHOS
(À propos de l’article « Entre Idel et pharmaciens, la pilule ne passe pas »)
Étant infirmier en foyer d’hébergement avec 52 piluliers à préparer par semaine, cette tâche maintenant attribuée au pharmacien, ce n’est que du bonheur : plus de temps à consacrer à de la prévention, au suivi médical, à la relation avec les résidents…
Pour ma part, je refuse « d’aider à la prise » des médicaments que je n’ai pas préparés moi-même. Sur qui retombera la responsabilité en cas de pépin ?