ACTUALITÉS
SUR LE WEB
→ L’historique de notre profession confère les deux réalités suivantes : premier point, notre profession d’infirmier (e) est essentiellement féminine, avec pour conséquence principale d’être inférieurement rémunérée, quel que soit son lieu d’exercice. Deux jeunes diplomé (e) s sortent de leur institution d’enseignement…le kiné gagnera toujours plus que l’infirmier (e), car leur métier est plus représenté au sein d’un pouvoir « phalocrate » ! Pour mémoire, à l’Assemblée nationale, deux députées infirmières se crêpent le chignon pendant que les autres acteurs de santé, eux, sont écoutés… Et ce n’est pas un Ordre imposé, donc non voulu et non consenti, qui fera avancer le débat…
FIDGEI
À propos de l’article « Front syndical uni contre l’ONI », 18/12
→ Les médias, depuis plusieurs mois, se permettent d’écrire que les infirmiers libéraux sont des fraudeurs. Faux ! Les infirmiers libéraux refusent de travailler suivant une nomenclature qui ne correspond pas du tout à la réalité de leurs actes. Les médecins généralistes sont rémunérés par un forfait consultation de 23 €, et ce, qu’ils travaillent quinze minutes ou une heure. Mais on impose aux infirmiers libéraux une rémunération suivant un forfait dénommé AIS, imposé à la demi-heure ou à l’ heure, ce qui limite la prise en chargedes patients. Nous ne fraudons pas quand nous pouvons réaliser un soin en quarante minutes alors que la Sécurité sociale impose une heure, pour ensuite réclamer des indus aux infirmiers qui ne respectent pas un temps obligatoire. Nous sommes des libéraux, tout comme les médecins généralistes. Pourquoi nous imposer des taux horaires ? Nous ne sommes pas salariés.
LOU BERTRAND
À propos de l’article « Fraudes à l’assurance maladie : les infirmières à l’index », 06/01
→ Les valeurs humaines affichées par cet étudiant, ancien imam prônant la mort, me font bien douter de l’honnêteté de ce futur infirmier ! Je ne pourrais absolument pas lui faire confiance ! Je constate malheureusement parmi les nouveaux professionnels de soins (IDE et AS) une évolution tout à fait défavorable de leurs motivations. Vivement la retraite dans deux ans ! MARIA
→ Je suis consterné par les réactions hostiles envers cet étudiant infirmier, le manque d’empathie à l’égard d’un étudiant au passé sulfureux mais qui a apparemment pris ses distances avec sa vie d’avant. Certains, même, prétendent qu’il pourrait en tant qu’IDE venir à l’hôpital pour y commettre un attentat. Ce ne sont là que des suppositions stupides ! Car si un désaxé voulait commettre un attentat dans un l’hôpital, le diplôme d’État d’infirmier ne lui serait pas indispensable. MOTARDE DE DIJON
À propos de l’article « D’émir à ESI, un parcours qui interpelle », 12/01