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Aujourd’hui, le médecin de l’Ehpad dans lequel je travaille avait rendez-vous avec la famille d’une résidente qui n’aimerait qu’une chose : que la maman décède ; ils font de nombreux sous-entendus : “Elle a encore passé le cap de l’été/l’hiver.” Sauf que la résidente, certes diminuée du fait de son grand âge, n’a pas vraiment de problème de santé : 5 comprimés par jour, dont 3 dolipranes, une perfusion de 500 mL trois fois par semaine. La famille a déjà manifesté son refus d’acharnement thérapeutique. Aujourd’hui, elle nous dit que la perfusion la maintient en vie et que c’est de l’acharnement… Le médecin leur a gentiment rappelé que la loi ne nous autorise pas à laisser quelqu’un mourir de faim ou de soif. Ju. H.
Posté le 14/08 sur le groupe des « Ni bonnes, ni nonnes, ni pigeonnes »
Nous avons toutes été hospitalières avant d’être en libéral. Nous avons donc encore une “vague” idée du boulot d’une IDE à l’hôpital, ce qui n’est pas réciproque ! FLO. B.
À propos de « IDE-Idel, au-delà des clichés », dossier de L’Infirmière libérale magazine, septembre 2015