Un roman à quatre mains qui se croisent et se répondent. D’un côté, Rebecca, schizophrène, « pas folle, seulement différente », de l’autre, Josselin, IDE en HP, avide de ces moments de vide où il peut « ne plus réfléchir ». Et au milieu, une histoire d’amour née de la rencontre de ces deux quotidiens. Un univers que connaît bien l’auteure, aide-soignante au service de psychiatrie du CH de Romorantin.
Après tout, je ne fais de mal à personne, Nadia Baudouin Bekkari, éd. Les auteurs libres, 16 €