DE LA PRÉVENTION PRIMAIRE À L’APRÈS-TRAITEMENT - L'Infirmière Magazine n° 371 du 01/05/2016 | Espace Infirmier
 

L'infirmière Magazine n° 371 du 01/05/2016

 

ACTIVITÉ PHYSIQUE ET SANTÉ

FORMATION

Dire que l’activité physique (AP) est bonne pour la santé est un lieu commun. Ses bienfaits, prouvés par de nombreuses études, sont connus : l’AP agit positivement en prévention de certaines pathologies, est un facteur important du maintien de l’autonomie des personnes âgées… Et pourtant, la sédentarité ne cesse de gagner du terrain, notamment chez les jeunes. Seulement 50 % des enfants respectent les 60 minutes d’activité physique quotidienne. Le niveau de pratique chez les adultes est aussi très insuffisant. Parfois, la maladie freine les ardeurs des patients alors que, justement, une activité adaptée peut influer sur le vécu et l’évolution de pathologies, comme le cancer, et de certaines maladies chroniques. L’intégrer dans le parcours de soin et agir en prévention est un enjeu de santé publique majeur. Un champ d’action qui concerne largement les infirmières, quel que soit leur lieu d’exercice.