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EN BREF
Une cellule de traitement des accrocs à Facebook (et aux réseaux sociaux) a été ouverte au sein d’un établissement public de Constantine, qui abrite déjà un centre d’addictologie. Outre les dommages psychologiques et sociaux engendrés par cette dépendance, le directeur de l’établissement argue du fait que les accrocs au réseau social sont particulièrement vulnérables au lavage de cerveau des groupes islamistes extrémistes, qui recrutent sur Internet. LE QUOTIDIEN D’ORAN