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SUR LE WEB
Notre dossier sur les représentations infirmières, publié dans le numéro de juin, vous a fait beaucoup réagir et rire (jaune). Florilège…
→ Moi je suis en urgences psychiatriques de nuit… Ça craint. PATOU W.
→ Sans compter que les cadres font des plannings, enfermés à longueur de journée dans leur bureau ! ÉLIANE P.
→ Les Ibode ne font que distribuer des compresses. ADELINE B.
→ En cinq ans, j’attends toujours mon premier soin technique en Ehpad. Pas si cliché que ça finalement ! QUENTIN D.
→ J’ai travaillé en psychiatrie et en libéral. Je ne fume pas, je n’aime pas le café, mais j’aime l’argent :) LAUR D.
→ Saviez-vous qu’en dialyse on tricote ? Voilà ce que mes collègues de long séjour de l’époque m’ont dit quand j’ai intégré ce service il y a quinze ans. J’ai toujours pasun pull de fini ! FLORENCE P.-C.
→ Quoiqu’il en soit, le point commun c’est que sous nos blouses, on est a poil ! ZAZA Z.
→ En fait, un (e) infirmièr (e) se définit par ses actes techniques. Tout ce qui est relation d’aide, éducation à la santé ou autre, on oublie. Revoyons donc notre décret de compétences ! ÉMILIE T.
→ Le plus triste c’est que ces clichés, on les dirige les uns contre les autres… Une profession loin d’être unie et c’est ce qui fait sa perte… Chaque mode d’exercice a ses inconvénients. Tant qu’on n’a pas testé on ne peut pas savoir. Reconnaissons que nous sommes tous en galère. SANDRINE S.