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La vérité, on la connaît tous : travail en sous-effectif, surdité quant à nos réclamations, harcèlement, négation de nos vies privées, de nos vies tout court… Combien de soignants divorcés, de famille éclatées, de parents qu’on laisse sans solution de garde pour les enfants et à qui l’on impose des horaires impossibles ? MANU E.
Dans mon hôpital, 3 000 salariés et 0,5 médecin du travail ! Je crois qu’aucun plan, ni aucun blabla ne peuvent palier ça. NATHALIE S.
Prévention des risques psycho-sociaux ? Mais depuis quand on doit aller bosser la boule au ventre et avoir un suivi pour tenir le coup ? Y a un souci là, non ? On ne devrait même pas se mettre en burn-out, peu importe la profession ! ALEXANDRE R.
À propos de « Suicide des infirmiers : la ministre de la Santé nous répond », 01/09