L'infirmière Magazine n° 380 du 01/03/2017

 

ACTUALITÉS

SUR LE WEB

MAL-ÊTRE

Si les décideurs voient que de toute façon ça passe quand même, ils s’en foutent. Seul le résultat (diminution des coûts de personnel) compte. Savoir à quel coût humain est cette diminution, peu importe. Les écoles sont pleines de gens qui veulent faire ces métiers. Ceux qui partent écœurés seront remplacés. Tant que ça tourne, il n’y a pas de problème. Et avec l’argent économisé, on rémunère des emplois fictifs ou des coiffeurs hors de prix…

CATHY GLAZ À propos de « Mes nuits à côté de ceux qui soignent quel que soit l’horaire », article de Huffingtonpost.fr partagé sur notre page Facebook

ATTENTATS

Quand on voit le mépris de l’État pour nous soignants, on est écœurés mais fiers de notre capacité à répondre à l’urgence en oubliant tout, à s’aider, à se relayer. À compatir à la détresse des victimes. Tout ça, on l’a fait. On n’oubliera jamais.

BÉATRICE TARDY À propos de « Attentats, n’oublions pas les soignants »