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SUR LE WEB
→ Arrêtons le délire ! Personne n’est « muselé » et l’Ordre n’empêche pas de s’exprimer, de revendiquer, etc. Voyez les médecins, les architectes, les avocats, les notaires ou les experts-comptables. Sont-ils muselés ? Opprimés ? Au contraire, ils savent défendre leur pré-carré. Allons soyons objectifs, les Ordres ont tous contribué à défendre les intérêts de leurs membres. Les oppresseurs sont ailleurs. Les IDE ont tout intérêt à renforcer leur corps, leur corporatisme et à se distinguer des autres professionnels de l’hôpital et des établissements de santé. Voyez ce qu’obtiennent les Iade. Du pragmatisme, du corporatisme, de l’auto-défense.
Voilà la solution et pas de scrupules. Pas d’idéologie, c’est de la perte de temps. Le monde est sauvage, chacun doit défendre sa came et les infirmiers ont des intérêts à défendre ! Qu’ils utilisent l’Ordre, comme les syndicats, comme les associations, c’est pragmatique. Surtout qu’ils usent de leur rapport de force. LISON
À propos de « Ordre infirmier, les syndicats jouent leur va-tout », 19/04
→ Depuis un an, c’est devenu l’enfer avec la course aux économies, les GHT et autres restructurations. Je suis cadre de santé et toutes mes collègues partent… Du coup, ça fait peur et c’est le serpent qui se mort la queue… Chef de pôle méprisant, DRH qui ferme les yeux, syndicats impuissants… Comment recevoir et soigner les patients dans de telles conditions ? SISSI
À propos de « Burn-out : oser en parler », 26/04
→ J’ai 55 ans et si j’ai un conseil à donner aux jeunes diplômés : continuez à vous former après votre DE avec des masters et des doctorats. Ça sera un des seuls moyens de s’affranchir du corps médical imbu de son pouvoir. Les IDE sont en train de changer et le monde médical ne le voit pas, c’est notre force de demain. NANOU
À propos de « Et si j’étais présidente… ? », 05/05
→ Je suis infirmière depuis juillet 2015, j’appartiens donc à la nouvelle formation. Ça fait maintenant 2 ans que je travaille à temps plein. J’ai également suivi la P1. Effectivement, pendant nos études, nous n’avons pas à bouffer le tome 1 de Kamina mais nous avons quand même de bonnes bases d’anatomie. Et la physiologie des pathologies étudiées, nous l’avons dans nos cours qui sont d’ailleurs tous réalisés par des médecins ! Au bout de trois ans de formation et de 2 années d’expérience, une infirmière peut être tout autant calée qu’un étudiant en médecine de 2e année selon son expérience professionnelle.
Et heureusement que certains médecins nous considèrent et aiment partager leurs connaissances médicales avec nous. Alors, il est tout à fait possible de rejoindre la P2 ou P3 par le biais de passerelles. Infirmière étudiante en médecine n’est pas égal à danger. Des internes ayant suivi le cursus classique peuvent être dangereux tout autant. Et les erreurs de prescription des médecins rattrapées par une infirmière, ça arrive ! GWIGWI
À propos de « Études de médecine : les passerelles ouvertes aux jeunes IDE », 25/04