Le film débute par une toilette. D’emblée, le corps apparaît comme le personnage central du film. Ce corps, objet de désir privé de plaisir quand celui qui l’habite est, comme Antonio, écrivain, tétraplégique. Pour ce dernier, jouir d’une sexualité épanouie est vital, une revendication forte qui l’amènera à organiser un lieu d’assistance sexuelle chez lui. Vivir y otras ficciones, en salles le 7 février