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SUR LE WEB
→ Je suis à 200 % avec vous. Je suis moi-même Ibode et confrontée aussi à ce genre de difficultés. Il faut défendre la sécurité des patients (qui pourraient être nos filles, fils ou parents ! ).
Aujourd’hui, les gens sont considérés comme des pions que l’on déplace comme des paquets de nouilles. Le fric est devenu le souci premier des collectivités… aux dépens des êtres humains ! Il serait grand temps que ces dernières prennent conscience que nous soignons des humains et non pas des objets ! UTICA
À propos de « Urgences : 100 % des infirmières en grève à Cherbourg », 03/01
→ Qui a incité les infirmières à se former depuis 2015 ? Je suis cadre Ibode en poste au sein d’un bloc et je milite au quotidien auprès des équipes et des chirurgiens pour faire reconnaître la plus-value des Ibode en salle. Beaucoup de cadres non Ibode n’en sont pas persuadés et ne font pas de la formation Ibode une priorité ! La mesure transitoire dans des blocs sans interne est certainement indispensable mais dans dix-huit mois, ce sera la même chose si la formation n’est pas obligatoire ! J’ai suivi la formation de 49 heures, j’interviens à l’école d’Ibode et je pense que, si on veut que ça bouge, il faut que ça commence par les cadres ! Incitons les professionnels à la formation, mettons en avant les Ibode, aidons-les à se faire entendre dans les salles au lieu de toujours donner raison à ceux qui pensent avoir raison parce qu’ils crient le plus fort ! VÉRO
→ Les dispositions d’incitation à la formation Ibode existent depuis la circulaire de 1998…. Vingt ans déjà ! Et que nous dit-on : nous ne sommes pas prêts ! Il faut reporter de dix-huit mois… Les personnels de terrain en ont ras-la-casquette d’être toujours le dindon de la farce mais comme d’habitude, nous continuerons de nous occuper des patients sans rien dire ou presque… Faut il en arriver à tuer des gens pour qu’on nous écoute ? REMI
→ Une précision s’impose : ce ne sont pas la mise en œuvre des actes exclusifs qui sont reportés mais uniquement le 1b du texte (aspiration, hémostase, aide à l’exposition). Les autres actes restent exclusivement réalisables par les Ibode dans les conditions que l’on connaît.
Ce n’est qu’une maigre consolation, mais c’est important de rectifier car toute autre information relève de la désinformation et cultive le défaitisme ambiant. ANGE
À propos de « Ibode : l’entrée en vigueur des actes exclusifs reportée », 11/12
→ Selon l’enquête e-satisfaction de la HAS (2017), un patient sur quatre se dit insatisfait de l’organisation de sa sortie de l’hôpital. Avez-vous le même ressenti ?
– Oui : 62,96 %
– Non : 18,52 %
– Ne se prononce pas : 18,52 %
27 personnes ont répondu à notre sondage du 21 décembre 2017 au 9 janvier 2018.