La justice se rend comme un théâtre. Parfois burlesque, parfois tragique. Tel ce procès d’un homme, accusé d’avoir étranglé son épouse frappée de « l’Alzémeur ». Telle la plainte d’une habitante d’un immeuble car « des coulures de liquides et de matières » avaient souillé son appartement - à l’étage, sa vieille voisine avait été victime de la canicule de 2013.
Jours de crimes, Stéphane Durand-Souffland et Pascale Robert-Diard, Éd. L’Iconoclaste, 20 €