Paris, le métier d’attachée de presse dans la mode, les soirées, le sexe, les coups d’un soir, l’alcool… À 38 ans, « pas d’enfant, pas de mari, pas même un amoureux », Marjorie mène une vie épanouie et libérée. Un banal rendez-vous chez sa gynécologue va tout changer. Cancer du sein. Dès lors, elle a « l’intime conviction que plus rien ne sera jamais comme avant ». Une nouvelle vie qu’elle affronte du mieux qu’elle peut. De la perte de ses cheveux, de sa libido et de sa féminité, au temps fort de ses 40 ans, l’auteure nous entraîne dans un tourbillon d’émotions. Un ouvrage poignant qui rappelle, si besoin est, que le cancer, ça chamboule. Les cheveux dont je rêvais, Marjorie Jacquet, éd. Max Milo, 19,90 €