ACTUALITÉS
SUR LE WEB
Bon, l’histoire se termine bien mais aurait pu être dramatique. Les débutants livrés à eux-mêmes, c’est tout le temps… Vigilance et rigueur sont les deux mots à retenir, et pendant toute sa carrière, car l’ancienneté n’exclue pas une erreur : nouvel emballage, changement de molécules, de conditionnement… KARINE MORIN
À propos de « À Pau, le procès d’une inversion de seringues à l’hôpital », article de France bleu, partagé sur notre page le 20/09
Oui, le travail de nuit détraque. J’ai fait cinq ans comme infirmière de nuit en hôpital. Pour les mêmes raisons exactement. J’ai arrêté parce que ce n’est vraiment pas naturel. Dix-sept ans après, je n’ai jamais retrouvé mon sommeil d’avant. Je dors par morceaux. ANNICK DARRIET À propos de « Sylvie Pioli, détraquée par le travail de nuit », article de La Croix, partagé sur notre page le 8/10