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L'infirmière Magazine n° 399 du 01/12/2018

 

ACTUALITÉS

SUR LE WEB

Mobilisation

→ Treize organisations les doigts sur la couture, cela n’a jamais fait bouger (même à la marge) la situation de la profession. Seule une véritable grève avec arrêt total du travail (hors soins d’urgence vitale), voilà ce que j’attends. Vous pouvez manifester mais si le travail se fait comme lors d’une journée normale, alors votre action est un coup d’épée dans l’eau.

STÉPHANE A

À propos de « Infirmières oubliées ? Infirmières mobilisées ! », 23/10

IDE coordinatrice (Idec)

→ Étant Idec en recherche d’un premier poste depuis trois ans et bien qu’ayant suivi une formation spécifique au Cnam, je peux témoigner que les employeurs recherchent préférentiellement un IDE ayant fait fonction d’Idec plutôt qu’un candidat ayant suivi une formation spécifique, mais non diplômante en ayant “seulement” une expérience d’IDE en Ehpad. Pas de définition officielle de la profession, donc pas de définition du contenu d’une formation qui soit diplômante alors qu’il y a nécessité d’être formé sur les volets juridique ou administratif, par exemple.

ALESETE

→ On a retenu le terme coordinatrice car cela permettait de payer moins cher une IDE faisant un travail de cadre. Les différents DU peuvent être un plus mais ne remplacent pas la formation de cadre. J’admets ensuite que la formation de cadre pourrait être repensée. Un tronc commun et ensuite des modules, la voie enseignante, la voie encadrement, la voie santé publique, la voie coordinatrice centres de soins en libéral.

CHESNEL

À propos de « Infirmières coordinatrices, encore trop dans l’ombre », 24/10

Ma vie d’Idel

→ Moi, j’ai vingt-quatre ans d’exercice libéral mais je ne fais pas 65 malades par jour, personne ne nous y oblige, surtout dans des communes où nous sommes 30 infirmières à se partager la clientèle. J’ai toujours pris mes après-midi. Et mes malades, lorsque je les quitterai pour ma retraite, je m’en rappellerai… Il ne se passe pas un jour sans que je ramène de la confiture, de l’huile d’olive, des kiwis, tomates, œufs… et de la reconnaissance.

NENETTE

→ Tout à fait d’accord avec toi… Mais tout dépend du secteur d’exercice et des km quotidiens, ainsi que des types de soins qui sont parfois très longs. Et certains secteurs sous dotés font “qui faut y aller”, déjà par conscience professionnelle, et également par obligation légale !

CHRISTOPHE

À propos de « Fin d’exercice », 7/11

Sondage

→ Un an après l’ouverture du portail de signalement des événements sanitaires indésirables, la Direction générale de la santé (DGS) en a dressé un premier bilan : sur les 45 000 déclarations, seules 15 % ont été faites par des professionnels de santé. Avez-vous déjà été confronté à ce type de situation sans pour autant le déclarer ?

- Oui : 67,44 % - Non : 20,93 %

- Ne se prononce pas : 11,63 %

43 personnes ont répondu à notre sondage du 17 octobre au 14 novembre