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SUR LE WEB
→ 365 millions ? Des miettes jetées sous la table jusqu’en 2023 ! Bof ! Aucune reconnaissance de la profession qui se fait piquer son boulot par les HAD, les réseaux, et maintenant les pharmaciens ! Au moins je pourrais dire que j’ai connu les bonnes heures, les années 1980-90 quand les Idel étaient appréciés, et avant que les syndicats ne signent tout ce qu’on leur demande, ce qui a mené au mépris de la profession. Car chaque nouveau décret était sous-entendu de suspicion d’une profession qui truande, genre les quotas ! CATH6734
À propos de « Négos conventionnelles : accord et désaccords chez les Idel », 01/04.
→ Il est vrai que “l’on partait de loin”, et que l’on reste loin de nos vrais besoins. Malheureusement nous serons toujours loin de tous, pourtant nous sommes et nous serons toujours les plus proches des patients. C’est donc, encore, une négociation stérile qui va nous laisser aussi loin que possible pour qu’on finisse par nous oublier, et ainsi nous remplacer à moindres frais. (…) C’est beau de se gargariser de termes complexes mais vous noierez pas “l’esprit chagrin” que je suis car, que signifie “bilan initial de plaie complexe” ? Tellement vague et donc sujet à interprétation (…). ORIANTA
→ Plutôt que critiquer les collègues qui prennent sur leur temps pour représenter la profession, investissez vous, adhérez à un syndicat, et bougez-vous ! (…) C’est usant de se battre pour des ingrat(e)s : si les syndicats avaient plus d’adhérents, ils auraient plus de poids dans les négociations et obtiendraient peut-être ce que vous attendez… Bon courage à tous. EDID54
À propos de « Négos conventionnelles : enfin un avenant ! », 03/04
→ J’ai réalisé mon mémoire de fin d’études sur ce sujet et je suis arrivée aux mêmes conclusions. La vérité doit être révélée (au patient, NDLR) en tenant compte du caractère singulier de l’individu, de la situation, de son envie de la découvrir et sur l’impact psychologique qu’elle pourrait avoir sur lui. Prendre son temps pour préparer le patient et l’annoncer s’avère indispensable si la décision d’informer est prise. Bravo pour cet article ! CRIS
À propos de « Doit-on toujours dire la vérité ? », 20/02
→ J’ai vécu un refus de soins par un cabinet à Châteaudun. Petit bobo, ongle de l’orteil droit décollé. Le médecin a refusé de me prendre en charge. Il me demande de faire le 15 ou bien de me présenter aux urgences de l’hôpital. J’ai dû partir voir mon médecin traitant à Paris. Agent de l’assistance publique depuis 1972, à la retraite depuis 2016, j’ai travaillé avec de grands professeurs qui avaient la foi. La déontologie médicale est à revoir. RH
À propos de « Le Défenseur des droits alerte contre les déserts médicaux et les refus de soins », 12/03