ACTUALITÉS
SUR LE WEB
→ Élargir les compétences pourquoi pas mais n’oublions pas les tâches premières de l’IDE qui ne sont pas toujours bien exécutées… L’infirmière n’est pas un PETIT MÉDECIN ! BETADINE
→ On peut avoir fait des formations validant des compétences en pathologies chroniques sans être un petit docteur et apporter du savoir être et du savoir-faire aux patients avec l’expérience. C’est une IDE en addiction de 46 ans qui vous le dit avec 20 ans de service. PEPETTE 75
À propos de « Les Français favorables à l’élargissement des missions des infirmières », 09/07
→ J’ai fait un épuisement en 2016 après 16 ans de libéral. Après 2 ans de travail en Ehpad, j’ai repris le libéral en 2018 seule avec 1 remplaçant. Actuellement, j’ai une collègue. Tout va bien. Ce qui m’a permis de m’en sortir, c’est les formations. Cela permet d’échanger avec d’autres personnes. VALÉRIE
À propos de « Comment expliquer le burn-out des infirmières libérales ? », 24/07
→ Fin avril, j’ai pris ma retraite, car je venais d’avoir 62 ans. En 2011, j’ai opté pour la catégorie B. Résultat, j’ai été obligée de prolonger pour avoir le taux plein. Au total, j’ai 27 ans de public et environ 10 ans de privé. Je touche environ 1 300 euros net/mois ! Je me sens totalement humiliée et je n’arrive pas à calmer ma colère ! C’est une honte ! AN 47
À propos de « Réforme des retraites : ce qui attend les infirmières », 01/08
→ Les ARS ont montré leur manque d’efficience lors du Covid-19. Soit ce modèle est capable d’évoluer, soit il mérite de disparaître. (…) Etant membre d’une association aidant des patients, je peux vous certifier que certains fonctionnaires de l’ARS sont en décalage complet avec les difficultés rencontrées par les soignants, les aidants et patients. VALÉRY
→ Un exemple : ce zonage pour les installations des infirmières libérales, publié au Journal officiel en janvier dernier. On attend le bon vouloir des ARS pour que ce zonage soit validé. ARS et CPAM se renvoient la balle, et ma remplaçante, alors que le nouveau zonage devrait autoriser un conventionnement indispensable pour mon cabinet, s’est vu refuser cette autorisation de mettre sa plaque, en pleine crise Covid, alors que l’on appelle des infirmières réservistes ! (…) Les Idels sont au front et la bureaucratie leur met des bâtons dans les roues au lieu de les soutenir. Je suis indignée. NATSOLEIL
À propos de « ARS : comment mieux faire le lien avec le terrain ? », 22/05
→ Après la crise sanitaire du Covid-19, envisagez-vous de quitter la profession infirmière ?
- Oui : 45,70 %
- Non : 43,89 %
- Ne se prononce pas : 10,41 %
221 personnes ont répondu à ce sondage du 25 juin au 17 août