OBJECTIF SOINS n° 0299 du 21/05/2024

 

DOSSIER

Sophie Rabin Rautureau   Séverine Proust  

Formatrice, Croix-Rouge Compétence Centre Val-de-LoireFormatrice, Croix-Rouge Compétence Centre Val-de-Loire

Qui est celui qui accompagne l’adulte en formation en 2024 ? Que signifie accompagner dans ce cadre ? Chargé de la conception des dispositifs de formation, de l’animation des séquences pédagogiques et parfois de la coordination pédagogique, le formateur jongle en permanence d’un rôle très encadrant à une fonction de supervision, toujours dans un objectif de maintenir un cadre sécuritaire pour le sujet en formation. Il fixe des règles tout en garantissant, pour l’apprenant, une marge d’autonomie propice au développement d’une autogestion de ses propres apprentissages. Investi dans toutes ces missions, il cherche les limites de l’accompagnement pédagogique, pris et épris par le souhait de bien faire.

Formatrices de deux cohortes d’apprenants différentes (filières infirmière et aide-soignante) au sein du centre Croix-Rouge Compétence de la région Centre Val-de-Loire, nous avons constaté, à travers nos échanges informels, que l’accompagnement représente un socle commun de nos activités professionnelles. Il est à la fois à la base de notre travail et porteur de nos multiples interrogations. Nous évoluons dans un environnement complexe, un système instable. Marius Mukungu Kakangu définit un système complexe comme « un système dont l’organisation découle de l’interaction entre les parties et le tout. » Cette définition nous permet de saisir l’importance de la relation entre les apprenants et le contexte institutionnel, c’est-à-dire l’environnement pédagogique à l’origine ou non de l’émergence de l’autonomie.

Tout d’abord, nous définissons le public apprenant, public avec cette particularité d’avoir atteint l’âge adulte mais pouvant connaître une phase de régression en lien avec l’entrée en formation professionnelle. Quelles sont les spécificités de l’apprenant adulte ? Qu’est-ce qu’apprendre ?

Puis, nous portons notre attention sur le formateur comme accompagnateur de ce sujet en formation. Pour compléter notre réflexion et actualiser notre vision de l’accompagnement pédagogique, nous avons mené une enquête via la diffusion d’un questionnaire auprès de formateurs de filières différentes, au sein de notre organisme de formation.

Enfin, les concepts d’accompagnement pédagogique et de juste distance dans la relation pédagogique apportent des éclairages soulignant la complexité du métier dont l’exercice est guidé par son empreinte soignante comme symbole de légitimité.

Un sujet en formation

De multiples auteurs définissent l’adulte en formation.

Catherine Clénet nous éclaire : « Un sujet en formation est une personne s’élaborant sujet grâce à son auto-détermination et par la construction de ses connaissances ». Elle inscrit sa vision dans une dimension humaniste et constructiviste. Les adultes accompagnés en formation professionnelle nous partagent leur vécu et leur chemin parcouru sur les plans professionnel, personnel et associatif. Cette histoire de vie participe à leur construction identitaire actuelle. La connaissance de ce vécu antérieur soutient l’accompagnateur dans son analyse quant au parcours actuel du sujet. Selon Richard Wittorski, « Le développement professionnel individuel entraîne des transformations opératoires, cognitives, affectives et identitaires conjointes. »

Catherine Clénet explique qu’une phase de réflexion conduit l’adulte à s’engager dans un processus de formation durant une durée déterminée. Cette phase de formation s’inscrit temporairement au sein d’un cursus de vie. Nous accompagnons également ce qu’il envisage après la formation, c’est-à-dire le projet professionnel, et tous les doutes inhérents à ce cheminement singulier. Selon Julien Gobeil-Proulx, « La formation relèverait davantage du processus que du résultat. » Richard Wittorski ajoute : « La formation, quand elle est professionnalisante et non seulement professionnelle, participe à la construction identitaire du professionnel en même temps qu’à la profession et articule ainsi étroitement le processus de professionnalisation en actes de l’individu, de l’activité et de l’organisation. »

Durant leur cursus ; les sujets adultes en formation sont surpris, se surprennent ; leur parcours de formation est ponctué de découvertes, de remédiations de leurs préconçus, de phases de doutes, de craintes, de lâcher-prise, parfois d’abandon temporaire ou définitif. Leurs représentations sont bousculées et mises à mal. Chaque sujet en formation, porteur d’un bagage biographique unique, apprend à se comprendre à travers la transformation inhérente au processus de formation. Il s’agit peut-être de leur première formation qui permet l’apprentissage de soi, une meilleure connaissance de soi. La formation permet d’apprendre, de nommer ses valeurs, de développer une posture propice au questionnement, de dépasser les conflits intérieurs cognitifs en les analysant grâce aux échanges et au partage d’expériences.

Qu’est-ce qu’apprendre ? Julien Gobeil-Proulx propose une définition : « Apprendre est une complexification de notre rapport à différentes représentations du monde. »

Apprendre, pour le sujet adulte, s’expérimente à travers les échanges d’expériences, la confrontation de son vécu, de ses propres apprentissages, au sein d’un groupe de pairs. L’adulte en formation confronte son expérience personnelle à la vision collective, de manière à diminuer la part de subjectivité au profit d’un gain d’objectivité, à travers la parole de ses pairs. Nous menons donc une formation centrée sur la discussion et le partage d’expériences. En partageant, le sujet assume une responsabilité et s’inscrit dans une posture active. La mise en mots soutient l’implication individuelle et l’analyse collective des situations. Elle engage le sujet dans l’apprentissage d’un positionnement professionnel. L’accompagnateur découvre et partage les surprises inhérentes à cet accompagnement complexe. Il fait face régulièrement à des situations inédites pour lesquelles il n’existe que peu de savoirs constitués, de procédures écrites, d’algorithmes, de règles prédéfinies, de logiciels ou d’outils numériques de référence.

Le formateur : un accompagnateur de confiance ?

Centrons-nous sur la mission d’accompagnement.

Valérie Doguet, coordinatrice pédagogique des filières infirmière puéricultrice, auxiliaire de puériculture et aide-soignante en formation initiale Croix-Rouge Compétence de la région Centre Val-de-Loire, rappelle que le formateur assure plusieurs missions comprenant la conception des dispositifs de formation, l’animation des séquences pédagogiques d’un module de formation ou d’une unité d’enseignement. Il peut également assurer la coordination pédagogique d’une promotion d’apprenants.

Le formateur, tout comme l’apprenant, s’implique dans un accompagnement où une relation de partage s’établit. Les expériences sont considérées comme un processus de transformation pour l’un comme pour l’autre. Le formateur analyse la situation de l’apprenant dans ce processus de métamorphose. En l’aidant à cerner sa représentation du monde, il accompagne au mieux l’apprenant dans ses apprentissages.

Selon Marcel Postic, « La relation pédagogique devient éducative, quand, au lieu de se réduire à la transmission de savoir, elle engage des êtres dans une rencontre où chacun découvre l’autre et où commence une aventure humaine ».

Comment mettre en place cette relation pédagogique ? Comment se sentir à sa place en tant que formateur ? Comment rester à sa place dans cette relation humaine, de fait, complexe ? Comment garder la juste distance ?

Tout d’abord, il est essentiel d’aborder la notion de réciprocité, notion socle pour créer une relation pédagogique harmonieuse et respectueuse de l’autonomie de chacun. Le formateur comme l’apprenant apprend à donner et à recevoir afin d’établir un lien durable et apaisé.

Cette relation repose aussi sur une intention primordiale, celle de l’altérité, « un dialogue entre deux subjectivités », selon Maela Paul. Chacun doit trouver sa place dans cet échange et apprendre de l’autre. Comme le précise Paul Ricœur, « Réflexivité et altérité se pensent ensemble ». La posture de l’accompagnateur, chargée d’humilité, encourage la réflexion et l’analyse des pratiques. Il se met à l’œuvre pour accepter l’autre en tant qu’être différent.

Peut-on parler de relation de confiance ? Apprendre à se faire confiance ? Le lien de confiance est central pour laisser place à une expression sincère. La coopération réelle des formateurs et des apprenants est un processus dynamique, graduel et complexe. La confiance est une des clés des apprentissages.

Au-delà de la confiance instaurée, la relation pédagogique nécessite une adaptation continue de la part des deux protagonistes. Lors d’une enquête, menée au sein de notre organisme de formation, auprès de 43 formateurs issus de cinq filières différentes (aide-soignant, auxiliaire de puériculture, puéricultrice, infirmière, ergothérapeute), « l’adaptation » est le premier mot clé utilisé pour définir l’accompagnement pédagogique. En témoigne le temps accordé aux entretiens de suivi pédagogique informels. Quatre-vingt-dix pour cent des formateurs interrogés affirment que ces entretiens informels occasionnent une charge de travail supplémentaire et croissante, ces trois dernières années. La mission d’accompagnement du formateur prend une place de plus en plus importante dans ses missions.

Il est maintenant nécessaire de se questionner sur les limites de cet accompagnement, en tant que formateur accompagnateur.

Jusqu’où s’engager dans l’accompagnement pédagogique ?

Les apprenants dans le secteur de la santé traversent des périodes de déstabilisation car « les processus à l’œuvre débordent l’acquisition et la maîtrise de gestes et de raisonnements techniques. Ils relèvent d’une métamorphose impliquant le jeune adulte dans des processus de transformation longs et éprouvants. » (Breton, 2018). Ainsi, la formation en santé, de façon inhérente à sa nature même d’un point de vue théorique et pratique entraîne un risque de fatigue émotionnelle de la part de l’apprenant, indépendamment des difficultés existentielles de chacun.

En effet, en plus des écueils rencontrés lors des périodes de stage ou en institut de formation, les apprenants peuvent traverser des épisodes difficiles sur le plan personnel. Lors de notre enquête, 95% des formateurs ont le sentiment d’accueillir plus de problèmes personnels évoqués par les apprenants. Les formateurs décrivent des situations problématiques de différents ordres : familiales, psychologiques, financières, sociales, motivationnelles et sanitaires. Plus spécifiquement, les formateurs décrivent, à travers les résultats de l’enquête des difficultés croissantes au niveau des apprentissages sur les plans analytique, syntaxique et orthographique. D’autres formateurs nous font part d’une posture inadaptée des apprenants en soulignant une forme d’immaturité perturbant l’acquisition d’un positionnement professionnel. Ces éléments sont constatés à travers notre enquête et nous permettent de mieux comprendre l’évolution de l’accompagnement pédagogique. L’accompagnement du sujet adulte en formation, qui apprend et découvre, constitue de fait une mission complexe. Julien Gobeil-Proulx explique que « La coopération réelle entre des formateurs et des apprenants est un processus dynamique, graduel et complexe ».

Rappelons que la finalité de notre accompagnement est de rendre l’apprenant autonome dans ses choix et dans son parcours de professionnalisation, ici et ailleurs, ici ou ailleurs. Selon Maela Paul, concernant l’accompagnement pédagogique, « Il s’agit de valoriser plutôt le projet-processus comme cheminement, maturation, faisant de l’accompagnement le lieu d’une double expérience, relationnelle et temporelle, dans laquelle s’engager avec la personne dans une démarche de projet est d’abord créer les conditions relationnelles de ce cheminer ensemble » (Paul, 2009).

Dès lors, l’accompagnateur amorce également une métamorphose dans son accompagnement ; Il devient « multi-casquettes ». Il est médiateur entre le savoir et l’apprenant mais aussi régulateur du savoir. Le formateur impulse dans son accompagnement le processus d’apprentissage, le questionnement et le doute. Il s’assure de la création « des conditions d’apprentissage » (Joannert, 2006).

De plus, de par sa posture, « Le formateur est metteur en scène de la relation didactique, régulateur de l’apprentissage, révélateur des apprentissages mais aussi évaluateur de sa pratique » (Joannert, 2006). Néanmoins, comme nous l’avons précisé, l’accompagnement ne se réduit plus à l’unique aspect pédagogique. Le formateur en santé s’appuie sur son expérience engrangée via son exercice soignant pour analyser les situations rencontrées et guider les apprenants dans leur propre cheminement. La relation pédagogique s’inscrit dans une continuité professionnelle inhérente au parcours professionnel en tant qu’ancien soignant. Elle induit la notion de réciprocité et de partage, de façon à aider l’autre à construire du sens au travers de ses expériences vécues, pour définir et défendre son sens de la réalité, de sa propre réalité. La posture de l’accompagnateur demande donc de partir de l’autre, de son vécu, et de se dégager de ses propres représentations. Ainsi, l’apprenant se forgera sa propre identité professionnelle.

Dans ce travail de soutien, 70 % des formateurs interrogés ont le sentiment de dépasser leur rôle de formateur dans l’accompagnement pédagogique.

Notre accompagnement évolue donc au rythme des tendances institutionnelles, sociétales et sociales. Notre capacité d’adaptation est mise à l’œuvre, mise à l’épreuve au quotidien dans la relation pédagogique mais aussi dans la définition des projets pédagogiques et de notre ingénierie de formation.

Ainsi, nos projets pédagogiques s’articulent autour d’un objectif de préservation d’un équilibre subtil entre le sentiment de réaliser un accompagnement de qualité et le souci de respecter notre champ de compétences en tant que formateur.

Quelle posture pour le formateur  ?

Comme cité précédemment, le formateur permet à l’autre de se raconter, de se mettre à nu, en laissant libre cours à son discours, sans jugement de part et d’autre. L’échange respectueux est créé dans le but de comprendre ensemble. Ce lien se base sur les principes de la communication non violente : O (observation), S (sentiment), B (besoin) et D (demande), selon le modèle théorique de Marshall Rosenberg.

Le formateur, patient, favorise la bienveillance. Il recherche « le langage du cœur » et l’humilité pour parvenir à la résolution de conflits potentiels. Ce lien s’accompagne d’une adaptation utilisant le mimétisme. Ils favorisent ensemble la compréhension des uns et des autres et l’acceptation de moyens de fonctionnement reconnus par chacun.

Selon Julien Gobeil-Proulx, « La relation établie entre la personne formée et le formateur, qui est peut-être la clé de la progression des apprentissages, a un impact sur l’état affectif des participants. Elle influence non seulement le comportement et la réflexion de la personne formée, mais aussi le contenu des réflexions. »

Une relation est comme une danse à deux. Le formateur peut également être touché sur le plan affectif. Une affectivité naissante peut entraîner des interprétations non contrôlées de part et d’autre. Un effort est nécessaire de la part du formateur pour maintenir un état de vigilance sur ses prises de parole, ses zones de pouvoir et ses émotions ressenties. Selon Françoise Lhomme, « Lorsqu’on est enseignant, on n’apprend pas comment se construit la relation pédagogique… Or, la relation pédagogique est avant tout un lien de confiance qui s’apprend. »

Ainsi, nous soulignons et nous légitimons de nouveau l’aspect complexe inhérent à l’accompagnement pédagogique. Des préconisations peuvent être émises pour soutenir le formateur dans cette mission d’accompagnement : l’orientation de l’apprenant vers des professionnels spécifiques, l’analyse de pratiques entre pairs, et plus largement le travail d’équipe. Mireille Cifali précise : « Dans toutes démarches, que nous soyons chercheurs ou intervenants, nous sommes impliqués. Notre engagement et la conscience de notre subjectivité sont à la base même de notre recherche. Cela impose des exigences, entraîne à prendre des précautions : ainsi, la bonne distance avec le sujet s’avère une lutte constante où alternent un être dedans et la nécessité d’un être dehors. L’objectivité nait ici d’un travail sur notre subjectivité. » L’analyse de pratiques permet de se rassurer en prenant conscience que ses propres pairs sont confrontés aux mêmes difficultés. Pour les formateurs, elle optimise l’émergence de solutions objectives via l’analyse permettant la mise à distance d’un débordement et d’une lassitude émotionnels.

Gaston Paravy rassemble des philosophes dans Orientation et formation tout au long de la vie, fondements anthropologiques, sur le thème de la pédagogie de la rencontre et son interculturalité. Il explique que « Enseigner et apprendre représentent une œuvre d’intériorisation et de spiritualité. » À travers cet extrait, nous retrouvons les notions de partage et de réciprocité. Le formateur apprend également à travers la relation pédagogique. Il accueille des contenus et des interrogations. Il accompagne et donc transmet à l’autre ses apprentissages pour que lui-même puisse grandir. L’intérêt est réciproque et se témoigne envers les deux acteurs.

Enfin, Charles Hadji ajoute « qu’il n’y aura de réponse créatrice aux problèmes de notre temps qu’à travers la personne humaine et grâce à elle. » L’humain reprend une place importante dans l’échange pédagogique. Ainsi, la rencontre dynamise et donne le goût d’apprendre dans son parcours de vie.

Conclusion

À travers une exploration conceptuelle modeste, nous avons tenté de définir ou redéfinir les spécificités du sujet en formation d’adultes. Le sujet adulte entre en formation avec un bagage biographique. Ainsi, tout au long de la formation, ses représentations sont bousculées. Il apprend avant tout à se redécouvrir à travers les échanges d’expériences et le développement d’un positionnement professionnel, quel que soit le projet professionnel visé.

Le formateur accompagne avant tout le processus de transformation de l’apprenant, jalonné de difficultés multiples et variées. Cela souligne la complexité de cette mission centrale où réciprocité, altérité, humilité et confiance deviennent les maîtres-mots pour s’adapter à la situation singulière de chacun.

L’enquête menée au sein de notre organisme de formation souligne une fatigue émotionnelle des apprenants. En lien avec l’aspect chronique de cette lassitude émotionnelle, les formateurs ont le sentiment d’accueillir de façon croissante des situations complexes empreintes de problèmes personnels. L’accompagnateur devient « multi-casquettes ». L’accompagnement ne se réduit plus à l’unique aspect pédagogique et demande une adaptation et une vigilance constantes en ce qui concerne ses propres émotions en tant qu’accompagnateur.

La posture du formateur dans la relation pédagogique, au-delà de l’absence de tout jugement de valeurs, s’inscrit dans une valeur centrale, la bienveillance. Selon Julien Gobeil-Proulx, « La relation influence non seulement le comportement et la réflexion de la personne formée, mais aussi le contenu des réflexions ». Il existe donc un lien étroit entre développement des apprentissages et relation pédagogique. Toutefois, cette relation pédagogique peut présenter des aléas et bousculer le formateur sur le plan affectif. Un travail d’analyse est nécessaire pour le formateur afin de gagner en objectivité et ainsi, diminuer la part de subjectivité liée à la complexité de la relation. Par-delà les difficultés rencontrées et la fatigue également ressentie par les formateurs, l’accompagnement pédagogique demeure le cœur de métier, non seulement pour la rencontre avec autrui et le partage de surprises, mais aussi dans l’objectif de dynamiser le goût d’apprendre chez l’adulte en formation.

Bibliographie

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