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  • De l’arrivée du patient en salle de réveil à sa sortie, les infirmières doivent vérifier que l’état de santé des opérés ne se dégrade pas et, autant que possible, soulager leurs douleurs. Une prise en charge globale qui nécessite une formation adaptée.
  • EHPAD
    Véritables managers de proximité, les infirmières coordinatrices ne bénéficient toujours pas d’un statut bien défini. Elles sont pourtant des piliers de leurs établissements, jonglant entre soins, gestion de la vie quotidienne et encadrement du personnel.
  • RISQUES PSYCHOSOCIAUX
    Pour endiguer l’explosion de l’épuisement professionnel, la DGOS prépare une nouvelle réglementation. Certains établissements ont pris les devants et expérimentent déjà des démarches de prévention ambitieuses.
  • Mon réseau® cancer du sein Lancé cet été, ce réseau social est dédié aux femmes touchées par un cancer du sein. En proposant une information validée par un comité d’experts et en encourageant le partage d’expériences et de ressources de proximité, il vise à mieux accompagner les patientes,...
  • La prescription anticomitiale vise à contrôler les crises d’épilepsie sans dégrader la qualité de vie du patient par une iatrogénie mal supportée : ses effets indésirables sont réduits en veillant à l’adapter à chaque situation spécifique (grossesse, profession, etc.).
  • La stratégie thérapeutique (domicile, hôpital…) dépend de l’évolution de la maladie, de l’autonomie du patient et de la qualité de l’entourage familial et social.
  • EHPAD
    Bien qu’elle soit devenue incontournable, l’infirmière de coordination n’a toujours pas de statut. Fin juin, à Paris, les premières Assises nationales ont dressé un état des lieux de cette spécialité en devenir.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme H., âgée de 68 ans, est hospitalisée pour une altération de l’état général et fonctionnel, sur fond de céphalées chroniques devenant invalidantes. Elle ne quitte son lit que pour réaliser ses besoins intimes. Ces céphalées se sont aggravées depuis 2 ans, au décours de...
  • Généralement liés à un traumatisme acoustique ou au vieillissement de l’oreille, les acouphènes se traduisent par une perception auditive subjective, sans origine externe et sans possibilité d’être quantifiée, prenant la forme de sifflements ou de bourdonnements plus ou moins constants.
  • La prescription de nouvelles molécules, encore limitée, révolutionne la prise en charge des patients « hépatants ». Pour l’heure, les infirmières adaptent leur prise en charge au cas par cas, selon les traitements. L’éducation du malade y tient une place essentielle.
  • Le virus de l’hépatite C est à l’origine d’une infection transmise par le sang. Se chronicisant chez environ 75 % des patients, elle affecte avant tout le foie : elle peut alors induire une fibrose, puis une cirrhose voire un carcinome hépatocellulaire. Une clinique discrète explique que cette infection d’évolution lente soit souvent diagnostiquée tardivement. La mise à disposition de nouvelles molécules, dont certaines ont obtenues l’AMM (Sofosbuvir, Siméprévir), révolutionne la prise en charge de la maladie. On s’achemine vers des traitements plus efficaces, plus courts et mieux tolérés. En cette période de transition, le suivi infirmier est plus que jamais adapté au cas par cas, selon les combinaisons de molécules prescrites. Même si les retentissements des nouveaux traitements sont moins lourds, un accompagnement rapproché, pour aider les patients à concilier observance et qualité de vie s’impose. Le dépistage est, quant à lui, bien d’actualité.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMadame T., 68 ans, présentant une ostéoporose post-ménopausique, s’est vu prescrire un biphosphonate (Fosavance® 70 mg d’alendronate + 2 800 UI de vitamine D), à raison d’un comprimé par semaine, à jour fixe. Elle est régulièrement hébergée en unité de psychiatrie...
  • MÉDICAMENTS
    Autrefois rares, les ruptures de stock constituent désormais le lot quotidien des professionnels de santé à l’hôpital.
  • Une pénurie de médicaments ? En France ? L’idée aurait semblé totalement absurde il y a encore peu de temps. Dans les esprits, elle reste le triste privilège des pays en voie de développement. Mais, depuis trois ans, les ruptures de stock ont pris un rythme exponentiel (lire P. 6). Le Levothyrox®...
  • 1. DESCRIPTION DU CAS Madame Joëlle H., 68 ans, hébergée en maison de retraite médicalisée, est traitée par tramadol (Topalgic LP 150 mg, matin et soir) pour douleurs rhumatismales et par carbamazépine (Tégrétol LP 200 mg, matin et soir) pour comitialité. Face à des signes de dépression liés à...
  • PHARMACOVIGILANCE
    Les nouveaux anticoagulants oraux (Naco), disponibles depuis cinq ans, ont connu un essor rapide en France, passant d’un million de doses définies journalières en 2009 à 117 millions en 2013. L’ANSM dresse un état des lieux.
  • Bibliographie → Qualité des soins : de la recherche à l’évaluation des pratiques professionnelles, coll. Soigner et Accompagner, J. Le Gall, P. Thibault, Éd. Lamarre, 158 p., 2011. → Douleur, programme d’amélioration de la qualité, mode d’emploi, E. Vassort, J. Le Gall, Masson 2003. → Du...
  • La notion d’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) fait progressivement son chemin dans le quotidien des soignants. Cette terminologie appartient au vocabulaire accompagnant à la fois la démarche qualité des établissements de santé et la formation continue des professionnels, en particulier infirmiers. La démarche qualité a fait ses premiers pas dans le monde du soin à la fin du XXe siècle avec, en première étape, l’accréditation des établissements. Il s’agissait alors de sensibiliser l’ensemble des intervenants au concept de qualité des prestations fournies. L’EPP est apparue, pour les médecins, dans le cadre de la Loi de sécurité sociale du 13 août 2004, puis introduite au cours des étapes de certification – plus particulièrement la 3e appelée « V2010 ». En parallèle, la loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST) a rendu obligatoire la formation par l’introduction du Développement professionnel continu (DPC), précisant qu’un des moyens de répondre à cette obligation est la participation à une EPP.
  • Pourquoi, dans une période de haute technicité médicale, les pratiques psycho-corporelles suscitent-elles un engouement de la part des malades comme des thérapeutes ?
  • 1. DESCRIPTION DU CASMonsieur C., 47 ans, employé de mairie, tabacodépendant, est hospitalisé pour un épisode dépressif majeur, consécutif au décès accidentel de son épouse. Culpabilisé par son implication dans ce drame, il a fait une tentative de suicide par pendaison, sans conséquence somatique...
  • Liée au vieillissement du cristallin, qui s’opacifie progressivement, la cataracte peut finir par être cause de cécité.L’unique traitement, chirurgical, consiste à remplacer le cristallin par un implant intra-oculaire adapté. Ce geste permet souvent de récupérer une vision excellente et contribue à maintenir l’autonomie du sujet âgé.
  • Une stratégie thérapeutique est mise en place pour limiter les situations de crise et retarder l’entrée en institution du patient. Traitement médicamenteux, accompagnement psychologique, mais aussi soutien des aidants en font partie.
  • ÉTATS-UNIS
    Un tiers des patients des SSR, services qui reposent sur les infirmières, ont subi des événements indésirables, alerte une étude gouvernementale.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme D., 93 ans, 56 kg, est hospitalisée pour un AVC sylvien droit ischémique. Ses antécédents sont une tuberculose ancienne, des pneumopathies à répétition, une arythmie cardiaque par fibrillation auriculaire (ACFA) paroxystique, une hypertension artérielle, un accident...
  • GESTION DES RISQUES
    Il y a quelques mois, le CHU d’Angers a déclaré la guerre aux interruptions de tâche des infirmières, génératrices d’erreurs. Brassard, gilet, affiche… Plusieurs outils sont expérimentés.
  • SUR LE WEB
    L’Agence nationale de sécurité du médicament propose, sur son site, un dossier thématique entièrement dédié à l’accès direct, où sont accessibles toutes les ressources classées par cibles : professionnels, grand public et industriels (plus de détails dans Sources utiles).Pour la liste mise à...
  • Les professionnels de santé doivent poser les limites de l’automédication ainsi que les règles de bon usage. L’infirmière aide à gérer la pharmacie familiale, repère les populations les plus à risque. Elle surveille les effets indésirables et incite à les déclarer.
  • MARCHE À SUIVRE
    Les professionnels de santé doivent déclarer les effets indésirables qui leur sont signalés. Depuis 2011, les patients peuvent également le faire.
  • L’automédication, ou le recours à des médicaments hors prescription, est une pratique courante en France. Or, « vente libre » ne veut pas dire « médicament sans danger ». Une bonne connaissance des bénéfices et des risques potentiels s’impose donc. En effet, pratiquée de façon responsable, l’automédication s’inscrit dans un cadre défini et se limite à certaines catégories de médicaments. Ce dossier donne aux infirmières les outils pour informer le patient « consomm’acteur » et livre les règles d’or à diffuser largement pour sécuriser l’automédication : rappel des consignes de bon usage encadrant le recours aux traitements hors prescription ; gestion de l’armoire à pharmacie familiale ; mises en garde particulières concernant les publics à risque comme les enfants, les personnes âgées, polymédiquées, les femmes enceintes… ; sans oublier le signalement des effets indésirables.
  • Xarelto(r), Pradaxa(r) ou Eliquis(r) vont-ils remplacer les antivitamines K (AVK), se demande Jeanne, infirmière.
  • MALADIES RARES
    En dépit d’obstacles de taille, au cours des dix dernières années, les associations de patients ont obtenu l’adoption de deux plans successifs pour les maladies rares. La prise en charge a fait des pas de géant, mais il reste encore du chemin à parcourir.
  • CENTRES DE RÉFÉRENCE
    Aide au diagnostic, suivi clinique, recherche, éducation thérapeutique… À l’image de la grande diversité des maladies rares et de leur prise en charge, les missions des infirmières qui interviennent dans les centres de référence sont éclectiques. Témoignages.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMadame H., 88 ans, est hébergée dans un Ephad. Atteinte de pathologies diverses liées à l’âge, elle souffre notamment d’un cancer du sein évolué avec metastases osseuses. La situation clinique et sa vulnérabilité ne laissent guère d’autre option thérapeutique que...
  • Le suivi concerne autant la prévention secondaire du risque cardio-vasculaire généralisé que le traitement des symptômes de l'Aomi.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMonsieur T., 24 ans, est traité pour une schizophrénie qui évolue depuis cinq ans. Après l’essai de divers antipsychotiques sur des durées variables, il a été possible de l’équilibrer avec une posologie relativement légère de zuclopenthixol (Clopixol). Son traitement actuel...
  • Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) américain accompagne depuis quelque soixante ans l’histoire de la psychiatrie mondiale. Chacune de ses actualisations suscite une controverse passionnée et passionnante. La cinquième édition, récemment publiée, n’échappe pas à cette règle.
  • Un décret, transposition partielle d’une directive européenne, renforce le système de pharmacovigilance français. Entre autres mesures, le texte prévoit que le directeur général de l’ANSM peut, à tout stade de la procédure [d’arbitrage], lorsqu’une mesure urgente est nécessaire pour...
  • LOI SUR LA TRANSPARENCE
    Depuis le 1er octobre, une loi impose la transparence sur les avantages accordés par les laboratoires aux professionnels de santé. En 2012, 28 000 infirmières étaient concernées.
  • Des thématiques hétéroclites. Douleur, hygiène, sécurité incendie, transfusion… De multiples sujets sont abordés en e-learning. Zoom sur trois exemples.
  • BUDGET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
    Dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2014, l’enveloppe allouée aux établissements hospitaliers sera inférieure à celle des soins de ville.
  • 1. DESCRIPTION DU CAS M. N., patient de 73 ans, est admis dans le service de néphrologie le 25 juillet 2013. Il présente comme antécédents : insuffisance respiratoire chronique sur BPCO post-tabagique sévère ; HTA traitée par Zestorétic et Isoptine LP 240. M. N. a été hospitalisé quelques jours...
  • Je suis infirmière dans un Ehpad. Ai-je le droit de confier l’étape de l’administration des médicaments aux AS et aux AMP ?
  • CONTREFAÇON DE MÉDICAMENTS EN AFRIQUE
    Avec son association Réseau médicaments et développement (ReMeD), Carinne Bruneton mène des campagnes d’information contre les faux médicaments en Afrique francophone. Pour elle, la lutte contre ce fléau passe par la sensibilisation des publics concernés.
  • MÉDECINES COMPLÉMENTAIRES
    Les médecines non conventionnelles sont entrées dans les mœurs des Français, et, de plus en plus, au sein même de l’hôpital. Si l’état des lieux est contrasté, le phénomène ouvre le champ d’une médecine plus globale.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme P., 75 ans, 51 kg, est hospitalisée pour une double fracture bassin/omoplate suite à une chute à domicile. Cette patiente présente comme antécédents une ostéoporose avec chutes répétées et fractures multiples, une HTA, un remplacement de la valve aortique et une thrombose...
  • TÉMOIGNAGES DE SOIGNANTS
    Sur le terrain, appliquer les recommandations s’avère plus compliqué qu’il n’y paraît. Finalement, les professionnels gèrent le risque d’erreur comme ils le peuvent.
  • INTERVIEW : LAURENT DEGOS MÉDECIN HÉMATOLOGUE ET CHERCHEUR. PRÉSIDENT DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ (HAS) JUSQU’EN 2010.
    Pour le chercheur Laurent Degos, l’erreur est bonne en soi, car son analyse permet aux professionnels d’en réduire les occurences. Mais, déculpabiliser les soignants participe d’une philosophie qui peine à s’appliquer en France, où la sanction est encore privilégiée, contraignant la parole et freinant les démarches d’évolution des pratiques.
  • ERREURS MÉDICALES
    Bête noire des soignants et des autorités de santé, l’erreur médicalepeut avoir des conséquences catastrophiques.En l’analysant, les professionnels apprennent à mieux comprendreson origine et à en maîtriser le risque.
  • Si l’infirmière veille au respect des bonnes pratiques d’injection, de conservation et de traçabilité, elle est aussi en mesure de repérer les effets indésirables dus aux vaccins. Grâce à son suivi, elle contribue à améliorer la couverture vaccinale de la population.
  • Connaître les différents vaccins et leur mode d’action, c’est comprendre leur utilité, leurs modalités d’emploi, et remettre à leur place bien des idées reçues. C’est aussi saisir les subtilités de la politique vaccinale, le « pourquoi » des recommandations qui évoluent sans cesse et les enjeux d’une couverture vaccinale optimale pour limiter au maximum la circulation des maladies infectieuses évitables en France. Le calendrier vaccinal 2013 introduit des modifications importantes, notamment une diminution du nombre d’injections chez les enfants et des rappels à âge fixe chez les adultes. Ces nouvelles mesures devraient simplifier considérablement les schémas vaccinaux et favoriser l’adhésion de la population. L’infirmière, habilitée à vacciner, peut y contribuer en s’impliquant dans le suivi des personnes.
  • SYSTÈME DE SANTÉ
    Pourquoi une telle disparité des pratiques médicales ? Faut-il les réguler ? Comment ? Telles étaient les questions posées le 5 juin lors d’un colloque(1). Éléments d’analyse avec Didier Tabuteau, spécialiste des politiques de santé.
  • 1. DESCRIPTION DU CAS Mme M., 91 ans est hospitalisée en soins de suite le 8/11 pour ischémie dépassée du membre inférieur gauche et amputation refusée par la patiente et sa famille. La patiente présente également une polyarthrose, une hypertension artérielle, un diabète de type 2, une fibrillation...
  • ORGANISATION DES SOINS
    Les dispositifs de télésanté reposent sur des outils de communication tels qu’Internet. Mais ils sont bien plus que des innovations technologiques. Leur incidence sur les compétences infirmières, l’organisation des soins et la prise en charge des patients est considérable.
  • « Le psychiatre m’a dit que je souffre de troubles bipolaires, sous prétexte qu’il m’arrive de faire des dépressions. Je n’ai pas envie de prendre un traitement qui me fait grossir et qui m’endort ! »
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme F., patiente de 82 ans, autonome et vivant seule à domicile, est adressée par son médecin traitant pour troubles de la vigilance évoluant depuis 5 jours, avec asthénie, ralentissement psychomoteur, confusion et agitation. Ses antécédents sont une HTA, un diabète de type II,...
  • Le médicament n’est pas une marchandise comme une autre. Alors, pourquoi tant tarder à légiférer, alors que les scandales sanitaires se multiplient, mettant en exergue les dangers de liens trop étroits entre l’industrie pharmaceutique et les professionnels de la santé ? Il a fallu dix-sept mois...
  • L’érythème fessier est la dermatose la plus fréquente chez le nourrisson. Elle touche particulièrement les enfants de 6 mois à 1 an, avec une prévalence de 30 à 50 %. Bénin au départ, l’érythème fessier peut s’aggraver si l’on ne prodigue pas des soins appropriés.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme G., 90 ans, vit en Ehpad depuis le décès de son mari, en raison de troubles cognitifs rendant impossible son maintien à domicile. Elle pèse 46 kg pour 1 m 50. Les antécédents principaux sont une démence dégénérative assez évoluée mais calme, une cardiopathie arythmique...
  • L’approche thérapeutique doit être individualisée, selon le degré d’obésité et les capacités d’adaptation du patient. Les mesures diététiques ne sont qu’un volet d’un traitement optimal.
  • Méthode d’ajustement de la posologie d’un produit morphinique, la titration permet d’initier ou de poursuivre en toute sécurité un traitement efficace pour soulager la douleur du patient.
  • Face à des effets indésirables majeurs tels que les troubles de l’érection, liés aux traitements du cancer, un accompagnement spécifique des patients s’avère indispensable.
  • TROUBLES DE L’ÉRECTION
    Des effets secondaires liés au cancer de la prostate, les troubles de l’érection ne sont pas parmi les plus faciles à vivre pour un homme. Le point sur les techniques alternatives.
  • L’hypertension artérielle (HTA) constitue un facteur de risque cardio-vasculaire majeur. Elle est souvent silencieuse, de découverte et de prise en charge tardive. Un suivi médical régulier s’impose, dans le but d’aider le patient à observer son traitement.
  • Longtemps utilisé par les Mayas et les Aborigènes, puis pendant la guerre de sécession, le traitement des plaies par les larves de la mouche verte fut supplanté avec l’avènement de la pénicilline. Mais l’évolution des bactéries le fit revenir sur le devant de la scène.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme N., 72 ans, hospitalisée le 11/10 en unité de court séjour gériatrique pour altération majeure de l’état général, suspicion d’AVC depuis 48 heures, pneumopathie et escarres multiples avec antécédent essentiel de démence et grabatisation. Elle est adressée par les...
  • CATHÉTERS VEINEUX PÉRIPHÉRIQUES
    La pose d’un cathéter veineux périphérique, banalisée, peut donner lieu à des complications. Selon un récent audit, les pratiques infirmières ne sont pas irréprochables.
  • 1. DESCRIPTION DU CASM. C., patient de 66 ans, présente des épisodes répétitifs de vertiges avec bourdonnements d’oreille, vision floue et douleur au niveau de la nuque. Les examens cardiaque et ORL demandés par son médecin traitant apparaissent normaux. Seul antécédent, une hypertension artérielle...
  • La peau est l’organe frontière par excellence, son rôle est multiple : protection contre les agressions extérieures, régulation de la température, perception du monde, image de soi. Elle peut être endommagée, ce qui, dans certaines pathologies, engendre une mise en jeu du pronostic vital. C’est le...
  • L’acné est une dermatose chronique très fréquente chez l’adolescent. Sa prise en charge, qui s’effectue au long cours, inclut des topiques antiacnéiques et, selon le cas, une antibiothérapie par voie générale. L’isotrétinoïne ne s’utilise qu’en cas d’échec du traitement ou d’acné sévère.
  • Un numéro vert (08 00 63 66 36) sur les pilules contraceptives a été mis en service fin janvier. En une semaine, 6 000 appels ont été reçus. La plupart des femmes cherchent à connaître la génération de leur pilule et à savoir si elle présente des risques. Par ailleurs, l’Agence nationale du...
  • Une étude menée par un CHU, transmise à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, a mis en évidence une forte sous-déclaration des effets indésirables liés à la prise de la pilule. De 1998 à 2012, 47 cas graves (embolie pulmonaire, thrombose veineuse profonde, AVC),...
  • 1. DESCRIPTION DU CAS L’enfant Wisam S., 2 ans, est né à terme (38 semaines d’aménorrhée), avec un poids de 2,360 kg. Il présentait un retard de croissance intra-utérin, entraînant une souffrance néonatale (Apgar 3-10), un syndrome dysmorphique (micropénis et cryptorchidie opérés en janvier)...
  • Vous venez effectuer les pansements d’ulcère de jambe de Madame F. Elle est algique et cote sa douleur à 6/10 sur l’échelle numérique (EN). Que devez-vous faire ?
  • Faut-il avoir peur de la pilule de 3e ou 4e génération ? Telle est la question que se posent désormais des millions de femmes et de jeunes filles après la plainte déposée par Marion Larat, victime d’un AVC, qu’elle attribue au médicament. Si la question est claire, la réponse l’est d’autant...
  • LACTARIUM D’ILE-DE-FRANCE
    Situé à Paris, le lactarium d’Ile-de-France assure chaque année l’alimentation de quelque 2 500 bébés prématurés. Pour eux, le lait maternel est une nécessité vitale. Le dispositif repose exclusivement sur les dons de mamans bénévoles et sur une organisation et un traitement du lait sans failles.
  • SANTÉ
    Être infirmière n’empêche pas d’être confrontée à la maladie. Mais cela change-t-il la manière d’appréhender sa santé ? Les témoignages révèlent que les soignantes réagissent en effet différemment face aux bobos ordinaires comme aux gros pépins.
  • ALZHEIMER
    La maladie d’Alzheimer frappe des personnes jeunes, « dans la force de l’âge », qui ont un travail, un conjoint, des enfants, des parents, une bonne santé physique. Elles doivent réorganiser leur vie, en tenant compte du manque d’aides et de lieux d’accueil.
  • Les médicaments antiasthmatiques sont destinés à lever le spasme bronchique (bêta-2 sympathomimétiques, anticholinergiques, xanthines, anti-leucotriènes) ou à réduire la composante inflammatoire (corticothérapie, cromones, omalizumab).
  • D’abord infirmier en secteur psychiatrique, Jean-Marc Pineau se donne aujourd’hui toutes les libertés, entre explorations à pied, littérature et engagement écologique.
  • En raison de sa fréquence, qui s’accroît, et du handicap dont il peut devenir la cause, l’asthme constitue un problème majeur de santé publique. Son traitement vise à contrôler l’hyper-réactivité bronchique et, dans la durée, la composante inflammatoire de la maladie. Pour qu’il soit efficace, le patient doit être acteur de sa prise en charge. Il convient, dès lors, de lui transmettre les connaissances indispensables, d’une part, pour repérer et maîtriser les facteurs qui jouent sur le contrôle des crises, et, d’autre part, contribuant à une bonne compréhension des traitements. Or, une personne sur deux ne suit pas correctement ces derniers, par méconnaissance, par découragement… L’asthme étant une maladie chronique, l’éducation thérapeutique s’avère une composante essentielle de son suivi. Les écoles de l’asthme, qui se sont développées depuis 1992, remplissent cette mission.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme B. est hospitalisée pour un tableau d’insuffisance cardiaque et respiratoire survenant au décours d’un syndrome infectieux bronchique. Cette patiente, âgée de 83 ans, présente de nombreux antécédents médicaux et chirurgicaux : prothèse totale de hanche gauche,...
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme H. R., âgée de 92 ans, est hospitalisée dans un service de soins de suite et réadaptation pour prise en charge d’un érysipèle associé à une thrombose veineuse profonde. Une embolie pulmonaire est également suspectée. Les antécédents de cette patiente sont peu...
  • SUICIDE
    Peu documenté en France, le risque suicidaire des plus jeunes appelle pourtant une prévention et une prise en charge particulières.
  • IATROGÉNIE
    Une étude pluridisciplinaire menée au CHU de Rouen pointe les risques de l’écrasement des médicaments.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMadame C. est âgée de 76 ans. Elle est en surpoids (IMC = 33), n’a pas d’allergie connue, ne fume pas et ne boit pas. Elle est autonome et vit seule en appartement. Elle a de nombreux antécédents médicaux et chirurgicaux : polyarthrite rhumatoïde, hypertension artérielle,...
  • FORMATION IADE
    Recourir à des mannequins de haute fidélité, réagissant aux gestes effectués sur eux, c’est l’axe choisi par nombre de centres de simulation pour former les soignants. À l’université Paris-Descartes, des Iade s’exercent face à des situations critiques.
  • Textes de référence > Circulaire DGS/DHOS/ Afssaps n° 03/582 du 15 décembre 2003 relative à la réalisation de l’acte transfusionnel : décrit les 5 étapes transfusionnelles permettant d’assurer la sécurité du patient transfusé. > Référentiel de formation au diplôme d’État infirmier...
  • La transfusion sanguine est une thérapeutique d’origine humaine, issue de dons de sang bénévoles. Afin de réduire au maximum les risques infectieux et immunologiques liés à cette source humaine, des mesures de sécurité sont en place et en constante amélioration tout au long de la chaîne transfusionnelle, du donneur au receveur. L’IDE occupe une place capitale dans ce processus. Son rôle consiste, d’une part, à repérer les erreurs survenues en amont lors des vérifications prétransfusionnelles, et, d’autre part, à prévenir les effets indésirables en veillant au respect des procédures et à un suivi rigoureux du patient transfusé. La maîtrise du processus repose sur l’actualisation régulière des connaissances, qui permet à chaque infirmière de transfuser en toute sécurité.
  • MÉDICAMENTS
    Alors que le drame du Médiator a bouleversé le paysage de l’industrie pharmaceutique, les conflits d’intérêts entre les laboratoires, les politiques et les médecins font la une des médias.
  • You have met most of these words in our regular English column… Good luck !
  • 1. DESCRIPTION DU CAS Marthe B, 83 ans est amenée inconsciente aux urgences par le Samu. À la prise en charge par le service, la patiente est pâle, très somnolente. Sur le plan médical, on retrouve dans ses antécédents une hypertension artérielle, une ACFA (fibrillation auriculaire), une...
  • INTERVIEW : PHILIPPE HARTEMANN, PROFESSEUR DE SANTÉ PUBLIQUE À LA FACULTÉ DE MÉDECINE ET RESPONSABLE DU SERVICE D’HYGIÈNE AU CHU DE NANCY, PILOTE DE LA COMMISSION ENVIRONNEMENT, DÉVELOPPEMENT DURABLE ET HYGIÈNE DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE D’HYGIÈNE HOSPITALIÈRE
    La commission pilotée par Philippe Hartemann est composée aux deux tiers d’infirmières membres de la SF2H. Elle vise à proposer des pistes de travail concrètes, sous forme de protocoles, pour mettre en place des mesures qui ne nuisent pas à la lutte contre les infections associées aux soins.
  • MÉDECINS SANS FRONTIÈRES
    À travers sa campagne pour l’accès aux médicaments essentiels (Came), MSF bataille pour permettre aux pays du Sud de disposer de soins de qualité. Marie-Pierre Allié, présidente de l’ONG, revient sur quinze ans d’engagement.
  • Un rapport publié en 2011 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) présente les maux de tête comme les troubles de santé les plus courants à travers le monde, mais qui restent sous-évalués et sous-traités. En France, des recommandations pour la pratique clinique ont permis de mieux structurer la prise en charge depuis 2002.
  • 1. DESCRIPTION DU CAS Mme D., 85 ans, est résidente en Ehpad depuis trois mois. Dans ses antécédents médico-chirurgicaux, on retrouve une hystérectomie, une ostéoporose sévère traitée, une dépression traitée et une polyarthrite rhumatoïde. Son traitement habituel comporte : Alprazolam 0,25 mg le...
  • Je suis infirmière depuis peu et je n’ai jamais été confrontée à une personne atteinte par l’hépatite C. Quelles précautions d’hygiène et d’aseptie particulières dois-je suivre pour prendre au mieux en charge ce patient ?
  • Fin avril, près de 8 000 femmes avaient été explantées de prothèses mammaires de marque Poly Implant Prothèse, dont 5 257 à titre préventif, a indiqué, début juin, l’Agence nationale de sécurité du médicament. Dans 80 % des cas, les prothèses étaient intactes et aucun signe clinique n’a...
  • L’allaitement nécessite une bonne préparation et une information de la part des professionnels pour aider les mamans à surmonter les difficultés qu’elles rencontrent.
  • RECHERCHE CLINIQUE
    En deux décennies, les traitements contre le cancer ont progressé de manière spectaculaire. Dans ce contexte, les essais cliniques précoces sont une étape capitale pour élargir l’offre de traitements.
  • 1. DESCRIPTION DU CASM. V., 82 ans, est hospitalisé dans le cadre de la prise en charge d’une bronchopathie spastique. Dans ses antécédents, le patient a subi une radiothérapie pour adénocarcinome de prostate et une cholécystectomie. Il souffre également d’une bronchopathie et d’une fibrillation...