Vie et profession infirmière | Espace Infirmier

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  • POINT DE VUE
    Nous pourrions nous dire « encore un livre sur la relation soignant/soigné! ». Et pourtant, celui-ci présente à la fois un point de vue spécifique - l’étude de la réciprocité au sein de cette relation - et l’intérêt d’aborder cette question à partir de ce que l’auteure a observé et...
  • GUIDE
    Le « wabi sabi » est une expression japonaise désignant un concept esthétique qui trouve ses racines dans le bouddhisme. Il s’agit d’une philosophie de vie qui incite à revenir à la simplicité et à voir la beauté en toute chose, même dans ce qui est imparfait ou inachevé. Il est basé sur...
  • Pascale THIBAULT-WANQUET, Auteur des ouvrages « Les aidants naturels auprès de l’enfant à l’hôpital » (Masson, 2008) et « L’adulte hospitalisé : travailler avec la famille et l’entourage » (Masson, 2016)
    Ancienne cadre supérieure en puériculture, responsable de formation continue (Asmaé santé) et rédactrice en chef d’Objectifs soins et management, Pascale Thibault-Wanquet décortique les freins à la présence élargie des proches à l’hôpital.
  • PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR
    Potentiellement présente à chaque étape du parcours de soins, la douleur est-elle assez bien prise en charge ? Un hôpital a analysé et amélioré ses façons de faire grâce à une évaluation des pratiques professionnelles (EPP), notamment en matière de traçabilité.
  • BONNES PRATIQUES
    Les recommandations de bonnes pratiques sont la garantie, pour le patient, de bénéficier d’une prise en charge de qualité, en adéquation avec les connaissances actualisées de la science.
  • FORMATEUR OCCASIONNEL
    La formation occasionnelle des pairs ou des étudiants permet de partager son savoir-faire et son expertise, tout en continuant d’exercer sur le terrain. Une initiative enrichissante, mais qui requiert également une bonne organisation.
  • PRISE EN CHARGE
    Le souffle politique est un peu retombé mais, sur le terrain, la prise en charge de la douleur fait, plus que jamais, partie des domaines qui esquissent les mutations des pratiques hospitalières et de l’exercice infirmier de demain.
  • RECHERCHE PARAMÉDICALE
    Les infirmières réunionnaises ont mis en avant leur projet de recherche lors de la toute première journée sur la recherche paramédicale qui s’est tenue dans l’île. Des Idel ont déjà obtenu des résultats en effectuant des dépistages du diabète de type 2.
  • La déclaration d’un événement indésirable associé aux soins par un personnel de santé constitue l’un des systèmes de matériovigilance.
  • L’apport nutritionnel et médicamenteux par perfusion sur cathéter périphérique ou central est fréquent en néonatologie. Un mode d’administration qui comporte des risques.
  • Un nouveau-né agité en néonatologie est généralement révélateur de troubles, de souffrances. Ce comportement doit interpeler les soignants et faire l’objet d’une évaluation.
  • On meurt de plus en plus souvent à l’hôpital : près de 58 % des Français y décèdent. La prise en charge de la mort, si elle ne figure pas explicitement dans les missions des établissements de santé, tient ainsi une place importante parmi les soins prodigués. Ceux-ci mettent en jeu des...
  • L’infirmière est habilitée à pratiquer l’ablation de fils posés en vue de la cicatrisation d’une plaie chirurgicale. Un soin qui peut susciter douleur et anxiété… à prendre en compte.
  • La notion d’évaluation des pratiques professionnelles (EPP) fait progressivement son chemin dans le quotidien des soignants. Cette terminologie appartient au vocabulaire accompagnant à la fois la démarche qualité des établissements de santé et la formation continue des professionnels, en particulier infirmiers. La démarche qualité a fait ses premiers pas dans le monde du soin à la fin du XXe siècle avec, en première étape, l’accréditation des établissements. Il s’agissait alors de sensibiliser l’ensemble des intervenants au concept de qualité des prestations fournies. L’EPP est apparue, pour les médecins, dans le cadre de la Loi de sécurité sociale du 13 août 2004, puis introduite au cours des étapes de certification – plus particulièrement la 3e appelée « V2010 ». En parallèle, la loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST) a rendu obligatoire la formation par l’introduction du Développement professionnel continu (DPC), précisant qu’un des moyens de répondre à cette obligation est la participation à une EPP.
  • Pourquoi, dans une période de haute technicité médicale, les pratiques psycho-corporelles suscitent-elles un engouement de la part des malades comme des thérapeutes ?
  • Les soins de bouche sont effectués dans un but préventif ou curatif, selon l’état de la cavité buccale. Dans le premier cas, il relève du rôle propre de l’infirmière ; dans le second, ils sont réalisés en application d’une prescription.
  • Le sondage urinaire est un geste fréquent (en milieu hospitalier, 9,4 % des patients). Réalisé sur prescription médicale, ce soin peut être inconfortable, voire générer de la douleur ; majorée par l’anxiété éventuelle du patient. Il atteint l’intimité de la personne.
  • La prise en charge thérapeutique adéquate des douleurs de patients atteints d’une pathologie mentale nécessite de connaitre l’expression de la douleur, les particularités de l’évaluation, les thérapeutiques et leur adaptation dans ce contexte particulier.
  • Comme le souligne le bilan du programme de prise en charge de la douleur 2006/2010, la prise en considération de la douleur chez les patients atteints d’une pathologie mentale a pris un retard important. Les raisons en sont nombreuses : multiplicité des pathologies psychiatriques ; modifications des ressentis et de l’expression de la douleur pour certains patients, rendant son évaluation plus complexe ; déni de la douleur somatique par les soignants de psychiatrie ; insuffisance de la prise en compte du corps en psychiatrie… Afin d’aider les professionnels de santé accueillant des personnes atteintes d’une pathologie mentale à accompagner celles-ci dans le soulagement de leurs douleurs, ce dossier propose d’analyser les difficultés d’évaluation, d’identifier les moyens les mieux adaptés pour les appréhender, et de présenter les méthodes thérapeutiques disponibles.
  • TUTORAT
    Le tutorat des étudiants infirmiers en stage, institué par le nouveau référentiel des études, a transformé le mode de relation entre les stagiaires et les professionnels de terrain. Sa mise en place s’opère de manière plutôt contrastée.
  • Vous venez effectuer les pansements d’ulcère de jambe de Madame F. Elle est algique et cote sa douleur à 6/10 sur l’échelle numérique (EN). Que devez-vous faire ?
  • douleur liée aux soins
    Longtemps négligée par les soignants et les pouvoirs publics, la prise en compte de la douleur engendrée par les soins est pourtant essentielle au bon déroulement d'un traitement. À chaque étape des soins, de multiples moyens antalgiques (médicamenteux ou non) sont à la disposition des infirmières. Leur mise en oeuvre requiert de la préparation, de l'expérience et une écoute attentive du patient.
  • Douleur
    Les infirmières ressource douleur ont un véritable poste et assument des fonctions transversales dans un service spécialisé.
  • Enquête
    Quelques années après les Plans douleur, une première étude montre la diversité d'action et de formation des IRD.
  • Douleur
    Le CNRD soutient le développement de la recherche infirmière.