Le service sanitaire des étudiants en santé (SSES) a un an. Dans un avis publié fin juillet(1), le Haut Conseil de santé publique (HCSP) propose plusieurs améliorations du dispositif.
« Fermez la porte à un clown, il passera par la fenêtre ! » C’est la devise du Rire médecin, qui intervient depuis trente ans auprès des enfants hospitalisés pour leur apporter un peu de joie durant des traitements lourds et invasifs. Depuis le confinement, la fenêtre est numérique.
Le fonctionnement des agences régionales de santé a montré des faiblesses pendant la crise du Covid-19. Structures administratives, ces institutions auraient-elles perdu le lien avec le terrain ? C’est l’avis de certains qui prônent un retour des élus dans leur gestion.
Vous portez un masque en permanence depuis près de deux mois (au moins !). On rougit, ça gratte, et en plus, le lavage vous assèche les mains durablement… « Avec le port du masque, on a observé des lésions d’irritation au niveau de l’arête nasale, indique le Dr Milpied-Homsi, dermatologue au...
Dans les années 1990, des associations ouvraient des lieux de vie aux personnes séropositives précaires pour les sortir de la rue et leur assurer un suivi médical et social. Aujourd’hui, ces appartements de coordination thérapeutique (ACT) accueillent surtout des personnes malades chroniques. Les infirmières sont au coeur de leur prise en charge.
Le gouvernement souhaite reprendre la réflexion sur l’accompagnement sexuel des personnes handicapées. Une question épineuse, qui oppose les demandes des personnes concernées et les risques de proxénétisme.
Depuis quatre ans, des ESI de Marseille préparent une journée d’ateliers de prévention à destination du grand (et jeune) public. Avant de prolonger l’action hors les murs.
Depuis 2016, un gros camion blanc sillonne la ville de Marseille, d’un centre d’hébergement pour femmes à l’autre. Pensée en complément de la Permanence d’accès aux soins de santé de l’hôpital de la Timone, cette Pass mobile, prénommée Colette, vient à la rencontre des patientes invisibles et désœuvrées.
À l’étranger, en situation de crise, le travail humanitaire s’est dégradé ces dernières années. Face aux conflits plus longs, aux bombardements, les soignants parent au pire dans un état de stress permanent.
Sur les hauteurs de Toulon, à La-Valette-du-Var (83), l’Ehpad Colonel-Picot, adepte de la méthode Montessori, accueille les membres vieillissants de la fondation des Gueules cassées ainsi que le grand public. Un lieu où l’autonomie est au cœur du projet d’établissement, dans le respect et la dignité des aînés.
La Cagnotte des proches, nouvelle plateforme de « crowdfunding », sert à financer des soins non remboursés ou des à-côtés pour le patient et sa famille.
Alors que l’enjeu est reconnu en haut lieu, le soin des migrants repose principalement sur l’action de soignants œuvrant, bénévolement ou non, au sein d’associations et autres structures. Souvent avec les moyens du bord…
À Nice, les soignants ont adopté, durant deux jours, le quotidien d’un patient souffrant d’une maladie chronique inflammatoire de l’intestin. Une expérience riche d’enseignements.
Leurs tentacules colorés se sont glissés dans de nombreux services de prématurés en France. Le service de néonatologie du CHI Aix-Pertuis (13) a sauté le pas le mois dernier, et accueilli ses premières pieuvres « thérapeutiques ».
Depuis le 8 décembre, un piano droit trône dans le hall des consultations du centre hospitalier de la Timone, à Marseille. Un instrument en libre-service pour mettre une touche de gaieté à l’hôpital.
Des mouvements de protestation gagnent les hôpitaux à travers toute la France. La grogne monte notamment auprès des IDE qui revendiquent des moyens supplémentaires et de meilleures conditions de travail. Et tentent de le faire savoir.
Pour attirer les kinésithérapeutes et orthophonistes à l’hôpital, le ministère de la Santé compte sur une prime mensuelle de 120 euros. Une aumône pour les organisations syndicales, qui demandent une remise à niveau des grilles indiciaires.