Vie et profession infirmière | Espace Infirmier

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  • Pratique hospitalière
    Institut de formation en soins infirmiers : exclusion pour des actes incompatibles avec la sécurité des patients ; statut : acte suicidaire après réception d’une sanction disciplinaire ; responsabilité pour faute et sans faute ; cas complexe : traitement dommageable mais non fautif, défaut d’information et prise en charge par l’Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam). Voici quelques éléments de jurisprudence en matière de statut et de responsabilité pour le mois de février 2024.
  • Accès aux soins 
    Une étude de l’Association des maires ruraux de France publiée en novembre dernier pointe le « passage d’une géographie des inégalités régionales à une géographie des inégalités urbain/rural ». Elle révèle qu’à « âge et sexe égal, la localisation à la campagne devient un facteur...
  • Si l’infirmier en pratique avancée bouscule l’écosystème de la santé, nous ne savons pas grand-chose du vécu éprouvé des acteurs. Que peuvent-ils dire d’eux-mêmes quand on regarde comment chacun fait usage de soi sous l’angle des normes et valeurs ? C’est l’enjeu de cet article dont les résultats bousculent nos représentations des compétences-clés à développer en formation.
  • En 2022, une structure d’hospitalisation à domicile a vu le jour à Mayotte. L'organisation et le suivi des patients se sont mis en place progressivement, dans cet archipel marqué par des difficultés d’accès aux soins et de fortes influences culturelles et religieuses.
  • La Haute Autorité de santé (HAS) a publié début 2022 son 4e rapport annuel sur les événements indésirables graves associés aux soins (EIGS) pour l’année 2020. Cette publication est l’un des outils destinés à recenser, analyser et agir contre les EIGS afin d’améliorer la sécurité du patient, comme l’explique le Dr Laetitia May, chef du service Évaluation et outils pour la qualité et la sécurité des soins de la HAS.
  • Dans un contexte de revendications croissantes des soignants pour faire reconnaître l’ampleur possible de leur champ d’exercice et la pénurie de médecins, l’Inspection générale des Affaires sociales (IGAS) s’est vu confier par le ministre des Solidarités et de la Santé la mission d’évaluer des dispositions pour identifier et développer les compétences des professionnels paramédicaux, afin qu’ils puissent intervenir dans des champs jusqu’alors réservés aux médecins.
  • QUALITÉ ET GESTION DES RISQUES
    « Le meilleur déchet est celui qui n’est pas produit. » Cet idéal régulateur concerne aussi les établissements de santé. De la prévention à la filière spécifique, en passant par la collecte séparée, lois et règlements bouleversent les schémas mentaux des soignants.
  • SOINS COURANTS DE LA VIE QUOTIDIENNEIl est créé la notion de « soins courants de la vie quotidienne » qui se définissent comme des soins liés à un état de santé stabilisé ou à une pathologie chronique stabilisée et qui pourraient être réalisés par la personne elle-même si elle était...
  • Alors que les infirmières en pratique avancée (IPA) exercent déjà dans quatre champs spécifiques de la santé, elles pourraient aussi rejoindre les services d'urgences. Une petite révolution qui soulève des crispations et qui tarde à voir le jour.
  • Ruptures médicamenteuses Les pénuries de médicaments font régulièrement la Une des journaux en pointant les pertes de chance pour les patients. Régulièrement visées, les entreprises du médicament (Leem) démêlent le vrai du faux et proposent des solutions pour un retour à plus d'autonomie.« La...
  • Promotion de la santé
    L'épidémie de COVID-19 a nécessité de la part du service de réanimation des adaptations rapides et anticipatives. L'exposition des soignants paramédicaux et médicaux au risque infectieux est avérée, notamment lors des prises en soins à risque d'aérosolisation(1). En regard de ces risques, les locaux et les équipements de protection individuelle (EPI) ont dû être adaptés et les soignants être formés et entrainés à leur utilisation et à la reconfiguration rapide du service. La prise en charge de patients COVID-19 est complexe et l'éventuelle pénurie des ressources (RH, DM, logistique, pharmacie, matériels biomédicaux...) a dû être également anticipée. Cet article a pour objectif de résumer les répercussions de l'épidémie COVID-19 sur le service de réanimation en mettant l'accent sur les impacts directs sur nos pratiques et sur les stratégies qui ont été anticipées, en cohérence avec le plan d'action dicté par la cellule de crise. Un réel challenge pour le Cadre de Santé de réanimation : préparer le service de réanimation face à l'épidémie Covid-19 et gérer les incertitudes.
  • Transport sanitaire Le transfert de patients de réanimation atteints par la covid19 a nécessité une organisation minutée dans les services concernés et une concertation rapide avec les sociétés de transports chargées de mener les patients à bon port. Une initiative saluée par la presse...
  • Management des soins
    Ce mois de juillet 2019 voit les « un an » de la parution des textes relatifs aux infirmiers en pratique avancée (IPA) en France. Attendue par les uns et déjà décriée par d'autres, cette évolution de l'exercice professionnel infirmier ne laisse pas indifférentes les communautés, qu'elles soient paramédicales ou médicales. Au centre hospitalier de Cornouailles de Quimper (CHIC), le dispositif d'installation de ce nouveau métier est coordonné par une cadre supérieure de santé, qui accompagne les professionnels depuis leur entrée en formation et les suivra jusqu'à leur prise de poste, en 2021.
  • PORTRAIT Infirmière de formation devenue directrice des soins, Brigitte Scherb a quitté l’hôpital pour devenir conseillère paramédicale de la Mission GHT* de la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) au ministère de la Santé. Elle nous explique son parcours et son rôle au sein de l’institution.
  • Certaines activités quotidiennes en établissement sont régulièrement associées à des obligations et des contraintes dont on ignore finalement parfois l’origine. L’agence régionale de santé fait partie des institutions qui organisent, contractualisent souvent et imposent parfois. Comment définit-elle et décline-t-elle les orientations de santé sur les territoires ?
  • Un premier texte publié le 29 décembre dernier constitue déjà une petite révolution dans le monde de la santé ; il s'agit du décret qui permet à quatre directeurs généraux d'agence régionale de santé (Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Île-de-France et Provence-Alpes-Côte d'Azur) de pouvoir déroger, pour une durée expérimentale de deux ans et avec évaluation, à certaines normes réglementaires.
  • Revue de jurisprudence récente : information et consentement ; faute dans l'organisation ; faute de surveillance ; faute technique ; faute disciplinaire.
  • Dans un droit de la santé mouvant, évolutif au point d’être parfois instable, trouver un texte pratiquement inchangé depuis bientôt quarante ans est une grande chance, et le signe de qualité. C’est le cas du fameux “décret de compétence”, dont la version initiale date de 1981(1), et qui, depuis, n’a évolué qu’à la marge(2). La base du métier infirmier résulte de ce texte solide et éprouvé par une pratique considérable. Analyse.
  • Encore plus qu’auparavant, les Groupements hospitaliers de territoire (GHT) demanderont aux cadres de santé d’adopter des postures stratégiques, dans la concrétisation des projets médicaux et de soins partagés inter-établissements, comme dans celle des parcours de soins en lien avec les projets santé des territoires.
  • Lors de son conseil d’administration du 3 juin,le Collège infirmier français (CIF) a validé l’adhésion de l’Association française des infirmières de dialyse, transplantation et néphrologie et du syndicat libéral Convergence infirmière, portant à 21 le nombre d’organisations membres. Le CIF...
  • La loi de santé a été adoptée le 17 décembre dernier. Mais, dès qu’une nouvelle loi arrive, une question se pose : a-t-on évalué la mise en œuvre de la précédente, c’est-à-dire la loi HPST de juillet 2009 ? Pas certain, d’autant qu’il convient déjà de se mettre d’accord sur la notion d’évaluation en économie de la santé.
  • Certains scandales sanitaires l’ont mise en avant : la matériovigilance veille sur les dispositifs médicaux et les possibles incidents relatifs à leur utilisation. Placée sous la responsabilité de l’Agence nationale de sécurité du médicament et de produits de santé, elle dispose au niveau local de correspondants qui remontent les informations chaque fois que nécessaire, permettant ainsi une mise en place d’actions correctrices, le cas échéant.
  • Sandrine Van Oost est cadre supérieure de santé du pôle urgences et service mobile d’urgence et de réanimation (Smur) au CH de Valenciennes. Corinne Cartignies, cadre de santé en charge du Smur. Chaque jour, elles se trouvent confrontées à l’imprévu, chacune dans son exercice.
  • Programme “Hôpital numérique”, télémédecine et pratiques infirmières, e-learning pour la formation des soignants, serious games pour l’éducation thérapeutique… Les technologies d’information et de communication (TIC) continuent de bouleverser le monde de la santé. Les cadres sont en première ligne pour accompagner l’usage de ces technologies par les soignants.
  • VIGILANCE → Les notions de gestion des risques associés aux soins sont bien connues des professionnels. Elles renvoient à la sécurité des soins, basée sur le principe de ne pas nuire aux malades, et au risque iatrogénique. Or il en est une autre qui l’est moins et que les acteurs ont tendance à confondre : la gestion du risque. Mais alors, c’est quoi et c’est qui, la gestion du risque ?