Vie et profession infirmière | Espace Infirmier

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  • Insuffisamment sollicitée pour la surveillance des chimiothérapies à domicile, l’Idel peut s’inspirer de l’oncogériatrie pour conseiller les patients âgés afin de mieux supporter un traitement du cancer. Le risque de dénutrition doit être particulièrement surveillé.
  • Le lien d’attachement parents-enfant, essentiel pour le bon développement des bébés, est mis à mal en cas de prématurité. Le favoriser est donc au cœur des préocupations des services de néonatologie.
  • L’entérocolite nécrosante néonatale (ENN) s’observe essentiellement chez le prématuré. Elle constitue l’urgence médico-chirurgicale digestive la plus commune en néonatalogie. Des soins médicaux et chirurgicaux adaptés limitent la mortalité des formes sévères.
  • Il naît chaque année en France près de 60 000 bébés prématurés. Si les progrès de la néonatologie ont formidablement accru leur chance de survie, c’est aussi au prix de séquelles encore difficiles à comprendre et à prévenir.
  • MUSIQUE
    Parlez-moi de moi, le cinquième album de Cendrio, explore les aspects intimes de l’humain et met en avant les talents de l’infirmier, chanteur, compositeur et interprète. Une large casquette derrière laquelle se cache une grande sensibilité. L’accent est chantant, la mélodie est entraînante, la...
  • Un nouveau-né agité en néonatologie est généralement révélateur de troubles, de souffrances. Ce comportement doit interpeler les soignants et faire l’objet d’une évaluation.
  • DSA PACK (Nutrisens)
    Utile pour évaluer les types de dysphagie, cet outil permet ensuite de préconiser une hydratation et une alimentation adaptées à chaque patient.
  • GÉRIATRIE
    Formées à l’aromathérapie scientifique, les infirmières du CH de Valenciennes (Nord) participent à une prise en charge protocolisée et médicalement encadrée. Un usage particulièrement efficace auprès des personnes âgées.
  • La décision de laisser un patient quitter la salle de réveil ne se prend pas à la légère. Avant cela, les infirmières doivent vérifier qu’il remplit toute une série de critères.
  • À partir du milieu des années 90, la réglementation sur les soins postopératoires s’est considérablement durcie. À leur réveil, les personnes opérées restent désormais sous la responsabilité des soignants au sein d’une salle répondant à des normes strictes.
  • PERSONNAGES
    Héroïsme, sentiment du devoir, humanité… Dans les séries télévisées, les qualités des soignants se retournent souvent contre eux.
  • LE CLIC DU MOIS
    Convaincu que « rester en bonne santé doit être un plaisir » et que « la prévention est l’avenir de la médecine », le très médiatique Dr Michel Cymès vient de lancer une plate-forme d’accompagnement personnalisé. Conçu par des « experts et des médecins réputés », reposant sur un...
  • ÉTUDE
    Une équipe franco-britannique a mis en évidence un lien entre horaires décalés et vieillissement cérébral.
  • Pour accompagner au mieux les petits confrontés au décès d’un proche, les soignants doivent prendre en compte leur dégré de développement cognitif. Il arrive aussi qu’un très jeune patient meure : dans ce cas, il importe ne pas se laisser submerger par ses émotions.
  • Si le mot « mort » peut être compris comme la simple absence de vie, il désigne en fait des réalités diverses, de l’agonie au décès brutal en passant par l’état végétatif. Chacune de ces situations appelle des soins spécifiques de la part des infirmières.
  • Il est possible d’améliorer la qualité de vie des personnes en phase agonique en répondant à leurs besoins, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Le point sur les recommandations en la matière.
  • SOPHROLOGIE CAYCÉDIENNE
    Aujourd’hui, en France, 5 millions de personnes souffriraient d’un acouphène invalidant, estime l’Inserm. Françoise Burgos, infirmière clinicienne, propose une prise en charge originale qui consiste à « habituer » le patient à ce bruit parasite.
  • Maladie neurologique chronique fréquente, l’épilepsie se traduit par la survenue plus ou moins répétée de crises témoignant d’une hyperactivité paroxystique de populations neuronales plus ou moins étendues du cerveau. Souvent idiopathique, elle constitue parfois un symptôme neurologique d’une affection particulière. Pouvant être handicapante par ses conséquences motrices, sensorielles ou cognitives, l’épilepsie est anxiogène pour le patient qui redoute la récurrence des crises. Cette pathologie l’expose aussi fréquemment à l’incompréhension, et même au rejet de l’entourage et du milieu professionnel. Côté traitement médicamenteux, l’épilepsie répond, dans la majorité des situations, à la prescription d’une monothérapie anti-épileptique, voire, en cas de résistance, à celle d’une association de médicaments. Enfin, comme toute maladie chronique une approche par l’éducation thérapeutique est à privilégier.
  • La prescription anticomitiale vise à contrôler les crises d’épilepsie sans dégrader la qualité de vie du patient par une iatrogénie mal supportée : ses effets indésirables sont réduits en veillant à l’adapter à chaque situation spécifique (grossesse, profession, etc.).
  • Catherine Barthalot a longtemps été la seule infirmière zoothérapeute de France. Son activité auprès des personnes âgées ou handicapées vivant en institution est un engagement très personnel au service de la qualité de vie.
  • Comme dans la plupart des maladies chroniques, la prise en charge de l’epilepsie, une fois le diagnostic posé, se doit d’accorder une large place à l’éducation thérapeutique. Un rôle majoritairement tenu par les infirmières.
  • AUTISME
    Les troubles du comportement chez une personne autiste signalent souvent la présence d’une affection somatique. Une réalité méconnue qui doit interpeller les soignants.
  • La cystite communautaire de l’adulte est une inflammation de la vessie et de l’urètre d’origine infectieuse, affectant avant tout la femme.Généralement bénigne, elle peut toutefois devenir handicapante par la fréquence de ses récidives. Son traitement antibiotique a fait l’objet d’une révision récente.
  • Elle touche 1 % de la population mondiale, soit environ 600 000 personnes en France. La maladie, dont l’origine précise reste inconnue, débute chez l’adolescent et le jeune adulte, entre 15 et 30 ans. C’est une des maladies les plus invalidantes notamment chez les jeunes. Depuis leur découverte en 1952 en France, les neuroleptiques sont l’élément central du traitement de la schizophrénie. La prise en charge de la maladie porte aussi sur la réadaptation et la réhabilitation sociale du patient. Celle-ci est réalisée, autant que possible, en ambulatoire mais les hospitalisations sont souvent nécessaires. L’alliance thérapeutique entre le patient, son entourage et l’équipe soignante est fondamentale. C’est pourquoi les familles sont de plus en plus impliquées, notamment par le biais de la psychoéducation.
  • 1. DESCRIPTION DU CASMme H., âgée de 68 ans, est hospitalisée pour une altération de l’état général et fonctionnel, sur fond de céphalées chroniques devenant invalidantes. Elle ne quitte son lit que pour réaliser ses besoins intimes. Ces céphalées se sont aggravées depuis 2 ans, au décours de...