Vie et profession infirmière | Espace Infirmier

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  • ADULTES AUTISTES
    Dans le village de Brissac-Quincé, près d’Angers, une « maison » créée par l’association Perce-Neige, et dotée du statut de foyer d’accueil médicalisé, accueille, depuis deux ans, une trentaine d’adultes autistes. Priorité y est donnée au bien-être et à la mise en avant des capacités de chacun.
  • MÉDECINES COMPLÉMENTAIRES
    Les médecines non conventionnelles sont entrées dans les mœurs des Français, et, de plus en plus, au sein même de l’hôpital. Si l’état des lieux est contrasté, le phénomène ouvre le champ d’une médecine plus globale.
  • L’hypnose se développe depuis une dizaine d’années dans le domaine de la santé. Elle se pratique, notamment, dans le cadre des prises en charge psychothérapeutiques. Les enfants y sont particulièrement réceptifs. Cette réceptivité s’explique : l’état hypnotique est un état naturel à l’homme, et la sensibilité hypnotique de l’enfant est supérieure à celle de l’adulte(1). L’hypnose fait appel à cette capacité de l’enfant à faire fonctionner son imaginaire. Elle est susceptible de lui apporter une aide précieuse pour dépasser certaines difficultés : douleur (aiguë ou chronique), anxiété, stress, mal-être, troubles du sommeil, de l’alimentation, peurs, phobies, addictions… Il est nécessaire, dans ce contexte, que les soignants qui l’accompagnent dans sa prise en charge connaissent mieux cette pratique et les méthodes qui en sont dérivées : la sophrologie et les techniques de distraction.
  • L’utilisation de l’hypnose permet à l’enfant de cultiver la confiance en soi, l’aide à traverser les émotions, à retrouver une sécurité intérieure qui l’amènera à changer face à ses symptômes ou ses douleurs.
  • Douloureux et potentiellement handicapant lorsqu’il n’est pas pris en charge rapidement, le syndrome du canal carpien est définitivement réversible, au prix d’un traitement chirurgical dont les techniques peu invasives sont aujourd’hui bien codifiées.
  • Les infirmières ont un rôle crucial à jouer dans l’élaboration et la promotion des bonnes pratiques de couchage, qui ont contribué à la diminution des facteurs de risque du syndrome de mort subite du nourrisson (MSN).Raisonnements scientifiques à l’appui, elles doivent pouvoir démonter les...
  • Survenant fréquemment sans signes avant-coureurs, l’AVC entraîne des séquelles graves, parfois le décès de la victime. La rapidité de la prise en charge est décisive. Un premier bilan s’impose avant la réalisation des gestes d’urgence.
  • Si l’infirmière veille au respect des bonnes pratiques d’injection, de conservation et de traçabilité, elle est aussi en mesure de repérer les effets indésirables dus aux vaccins. Grâce à son suivi, elle contribue à améliorer la couverture vaccinale de la population.
  • PERSONNES HANDICAPÉES
    L’accès aux soins hospitaliers pour les personnes handicapées reste compliqué : difficulté d’expression des uns, appréhension des autres, manque de formation et d’accompagnement… Quelques équipes montrent pourtant l’exemple, en s’appuyant sur la coordination des soins.
  • Pendant l’été, l’actualité est généralement en sommeil…, sauf, peut-être, pour les infirmières. Je passe sur le coup de pub d’un site Internet révélant l’annonce d’une infirmière prête à « louer ses seins » au profit d’enfants de couples homosexuels. Histoire peu valorisante pour...
  • Martin, 7 ans, présente des difficultés d’apprentissage. L’enseignant conseille aux parents de consulter un spécialiste afin de confirmer la présence d’un trouble. Les parents sont inquiets. Que peut-on leur dire ?
  • Comme le souligne le bilan du programme de prise en charge de la douleur 2006/2010, la prise en considération de la douleur chez les patients atteints d’une pathologie mentale a pris un retard important. Les raisons en sont nombreuses : multiplicité des pathologies psychiatriques ; modifications des ressentis et de l’expression de la douleur pour certains patients, rendant son évaluation plus complexe ; déni de la douleur somatique par les soignants de psychiatrie ; insuffisance de la prise en compte du corps en psychiatrie… Afin d’aider les professionnels de santé accueillant des personnes atteintes d’une pathologie mentale à accompagner celles-ci dans le soulagement de leurs douleurs, ce dossier propose d’analyser les difficultés d’évaluation, d’identifier les moyens les mieux adaptés pour les appréhender, et de présenter les méthodes thérapeutiques disponibles.
  • Puéricultrice auprès des enfants « passagers clandestins » des prisons, qui vivent la détention avec leur mère incarcérée, Sylvie Girou met en avant sa simple présence, en soutien à la vie naissante et à la parentalité.
  • « Le psychiatre m’a dit que je souffre de troubles bipolaires, sous prétexte qu’il m’arrive de faire des dépressions. Je n’ai pas envie de prendre un traitement qui me fait grossir et qui m’endort ! »
  • ENQUÊTE AU TRAVAIL
    Le programme de surveillance des maladies à caractère professionnel de l’InVS met en évidence quelques données épidémiologiques sur les pathologies mentales. En 2011, sur 6,7 % de femmes et 5,7 % d’hommes notifiant une maladie à caractère professionnel, près d’un tiers subissaient une...
  • AUTONOMIE DES PERSONNES ÂGÉES
    Et si l’on pouvait lutter contre la dépendance ? En agissant en amont, auprès des personnes âgées fragiles ? Sur le terrain, rares sont encore les équipes soignantes à s’être engagées dans cette voie. Mais le frémissement est là. Doublé, sur le plan national, d’un discours politique affichant la volonté de multiplier les initiatives en la matière.
  • Dans de nombreux cas, le syndrome de stress post-traumatique peut être une réaction normale face à un événement traumatique qui dépasse la limite de ce qu’une personne peut supporter. Il est considéré comme un trouble anxieux et a été officiellement reconnu en 1980. La reconnaissance de cette...
  • La prise en charge de l’arrêt cardio-respiratoire (ACR) de l’enfant s’effectue selon des recommandations internationales (1). Afin de réduire la mortalité, chaque soignant doit connaître la chaîne de survie.
  • Post Traumatic Stress Disorder is in many ways a normal reaction to a traumatic event that exceeds the limit of what a person can tolerate. It is considered an anxiety disorder and was first formally acknowledged in 1980.(1) Awareness of the disorder is growing, particularly in the military context, although...
  • De façon récurrente, dans les hôpitaux, le bruit est incriminé par les patients. Récemment, un colloque sur les services supports en santé s’est fait l’écho de ce fléau bien ancré dans l’univers des soins. Depuis que les patients sont invités à répondre à des questionnaires de satisfaction,...
  • Stigmatisée, souvent réduite, à tort, à un facteur de risque, l’obésité est une maladie chronique qui altère la qualité de vie des patients. Elle touche 15 % des adultes français, et est encore fréquemment considérée comme relevant d’un manque de volonté. Il s’agit pourtant d’une affection chronique complexe, dont les causes se révèlent à la fois physiologiques, comportementales et psychosociales. Le traitement de l’obésité dépasse d’ailleurs largement le cadre des mesures diététiques. Comprendre son caractère multifactoriel permet de changer notre regard sur cette maladie et d’aborder sa prise en charge de façon optimale. L’approche proposée par un réseau multidisciplinaire, au sein duquel les infirmières ont leur place, est, à cet égard, à privilégier. Correspondant à une véritable participation à des actions de prévention, de dépistage, de formation et d’éducation à la santé, leur rôle face à l’obésité est essentiel.
  • L’approche thérapeutique doit être individualisée, selon le degré d’obésité et les capacités d’adaptation du patient. Les mesures diététiques ne sont qu’un volet d’un traitement optimal.
  • DÉRIVES SECTAIRES
    Un rapport du Sénat, rendu le 11 avril, formule 41 recommandations pour lutter contre les dangers des pratiques thérapeutiques non conventionnelles. Il préconise de mieux les encadrer à l’hôpital.
  • Affection fréquente, le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) est responsable de complications cardio-vasculaires. Les épisodes de somnolence dus à la maladie ont des répercussions sur les plans social et professionnel.
  • Monsieur M., 78 ans, est hospitalisé à la suite d’une chute qui a révélé la présence d’une hyper-glycémie sévère témoignant de l’existence d’un diabète méconnu. Comment les soignants font-ils face à cette situation ?