« Plaies chroniques. Prise en charge en ville »
Cet outil, destiné aux professionnels de santé intervenant dans le suivi des plaies chroniques en ville, a été élaboré par l’Assurance maladie en collaboration avec la Société française et francophone des plaies et cicatrisations (SFFPC). La prise...
PRÉSENTATION DU TPN
Le système de TPN
Appliquée à une plaie, la thérapie (ou traitement) par pression négative (TPN) désigne une technique mécanique, active et non invasive de pansement. En physique, le terme « pression négative » désigne la pression d’une région fermée qui est inférieure...
La Fédération nationale de l’hospitalisation à domicile (Fnehad) qui a tenu ses « universités d’hiver » en décembre se félicite de la progression de son activité.
Sylvie Martin-Metayer est IDE stomathérapeute dans les services de chirurgie digestive et urologique du groupe hospitalier Paris-Saint-Joseph. Elle prend régulièrement en charge des patientes atteintes d’endométriose pelvienne nécessitant la mise en place d’une stomie digestive provisoire. Retour d’expérience.
Si le rôle de coordination du médecin traitant, avec la mise en place du parcours de soins, est reconnu depuis 2005, celui qu’endossent les infirmières libérales au quotidien reste encore totalement dans l’ombre. Les nouveaux dispositifs de coordination voulus par le gouvernement vont-ils changer la donne ?
Depuis la création des comités de lutte contre les infections nosocomiales (Clin) en 1988, la lutte contre ces infections contractées en établissement de santé a évolué. Le point sur cette instance encore d’actualité.
En France, le taux de prématurité augmente depuis 1995, ce qui représente aujourd’hui 60 000 naissances vivantes par an dans notre pays (1). Anxiogène en soi à l’hôpital, en dépit d’une prise en charge médico-technique de pointe, la prématurité peut l’être davantage lors du retour au domicile. Les soignants libéraux (sages-femmes, puéricultrices, Idels) doivent appréhender toutes les dimensions médico-psycho-sociales de la prématurité afin d’accompagner au mieux le retour à la maison de l’enfant prématuré et de ses parents.
Le 18 septembre dernier, dans un grand discours à l’Élysée, le président de la République a annoncé, devant les représentants du monde de la santé, un plan de réforme de 54 mesures… qui laisse néanmoins la profession infirmière sur sa faim.
Face à un patient atteint d’une pathologie grave, voire en fin de vie, les infirmières libérales se sentent trop souvent seules et démunies. Les axes principaux d’amélioration de leur exercice passent par un dialogue plus fluide entre les différents intervenants du soin.
Les services de soins infirmiers à domicile et d’hospitalisation à domicile peuvent, depuis le mois de juin, intervenir simultanément auprès d’un même patient. Une innovation qui vise à éviter les ruptures de prise en charge.
Cadre supérieure de santé responsable du service qualité du centre hospitalier Simone-Veil de Blois (Loir-et-Cher), Annabelle Mathon anime, depuis 2014, la mise en place et le déploiement de la méthode du patient traceur dans cet établissement. Un retour d’expérience riche en enseignements.
→ Arrêté du 14 mars 2018 portant modification des modalités de prise en charge de dispositifs médicaux de perfusion à domicile et prestations associées inscrits au titre Ier de la liste des produits et prestations prévue à l’article L165-1 du Code de la Sécurité sociale et avis relatif à la...
En juillet 2017, l’Union régionale des professionnels de santé-infirmiers d’Île-de-France a signé une charte avec la Fédération nationale des établissements d’hospitalisation à domicile pour améliorer les rapports entre l’HAD et les Idels. Dix mois plus tard, son application reste inégale.
Proposer le soutien des infirmiers libéraux dans les Ehpad : c’est l’idée de la Fédération nationale des infirmiers. Une solution loin de faire l’unanimité.
Pour simplifier la prise en charge de patients complexes, à laquelle participent nombres d’acteurs sanitaires, sociaux et médico-sociaux, le législateur a créé les plateformes territoriales d’appui (PTA).Aujourd’hui, une trentaine de PTA fonctionne, une cinquantaine est en projet. Analyse de leurs missions, illustrées de plusieurs témoignages.
À l’occasion de la Semaine de la sécurité des patients, la structure d’hospitalisation à domicile Relais santé domicile, basée à Toulouse, a conçu une chambre des erreurs. Durant trois jours, elle a invité les infirmières libérales de son secteur à y participer.
Dans l’Eure-et-Loir, un collectif d’une trentaine d’Idels a fait plier un service d’aide à domicile qui menaçait, selon elles, de marcher sur leurs plate bandes en créant un « centre de soins infirmiers ».
Son histoire a fait les gros titres d’un quotidien local, avant d’être reprise par la presse nationale. Depuis le mois de novembre, cet homme de 67 ans, habitant Perpignan, est à la recherche d’une infirmière libérale. Mais les Idels ne peuvent « porter seules la responsabilité de ce dysfonctionnement », rétorque une syndicaliste.
Les GHT s’articulent autour d’un projet médical partagé, qui décline pour cinq ans les ambitions communes des établissements partie-prenante. Son élaboration n’a pas été une mince affaire.
Les groupements hospitaliers de territoire (GHT) demeurent largement méconnus des infirmières. Que doivent-elles en espérer ou en craindre ? Focus sur une réforme-iceberg, dont on ne voit que la partie émergée.
Comment mieux prendre en charge la sortie des patients ? À Brest, le CHRU teste un dispositif spécial : la plate-forme opérationnelle de parcours (POP).
Pour aborder cet enjeu hospitalier majeur, le CHRU de Brest a notamment mis en place une plateforme opérationnelle de parcours. Avec la volonté de développer l’hospitalisation à domicile, ce qui nécessite d’améliorer les échanges entre les différents acteurs.
La Fédération nationale des établissements d’hospitalisation à domicile (Fnehad) entend doper son activité de transfusion sanguine, et a entamé un travail de lobbying à destination des pouvoirs publics sur le sujet. Et cela pourrait constituer une opportunité pour les Idels…